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gramophone

la raison des syndicats

Revenons aux fondamentaux. La raison initiale du message d’un internaute:

par Nestor Elias Ramirez Jimenez

Vendredi 16 janvier 2006

je cite l’idée du message :

Une notion par laquelle, le syndicaliste saurait nuisible voir imposteur; si nous nous tenons aux propos, je cite ce que j’ai compris : "tant que Sarkozy ne sanctionnera pas des syndicalistes délinquants l’avenir est compromis" Parce que les syndicats de Paris et Marseille, ont fait grève suite à l’agression d’un des collègues dans chaque ville. En fait il y dans le code du travail une notion qui s’appelle le droit de retrait Articles L. 4131-1 à L. 4131-4 du Code du travail

Dans toute société existe le droit de congrégation, de trust la prouve sont les organismes comme l’OMC, l’ONU, la FED la CE, puis même le WORL ECONOMIC FORUM; curieusement ces organisation comme des milliers d’autres ont une relation directe avec la monnaie. "the Future of the Global Financial System". 

Sont ces organisations pour autant efficients ? 


S’il le seraient nous ne serions pas dans le pétrin actuel. 

Le futur des travailleurs doit au nom du future de l’argent être anéanti ?

Le système financier doit écraser la société pour société ?

Les lois de la finance doivent primer sur les droits ou fondements mêmes de la démocratie ?


D’ailleurs dans une société civilisé, sans la jungle sauvage des rapaces de la finance, où une quantité infinitésimale se procure presque la moitié des revenus de la production matérielle et 89% ramassent les miettes. Il est normale l’augmentation de l’insatisfaction, de la délinquance, et encore pire. C’est ne pas l’augmentation de policier,de lois, et des discours enchanteurs, qui vont agir pour l’harmonie de la société. 

Les paroles sans justice, les lois sans raison sont un exercice dans le but d’anesthésier l’opinion du béotien, du quidam, mais pas un politique digne du nom. Les syndicats ont autant de raison d’exister, que les partis politiques, bien que les pères de la pensée et des sciences alertaient sur le fait que trop de liberté tue la liberté. C’est parce que il y des individus en état de zombis que l’harmonie de la société rende l’âme. Zombi celui qu’agresse un fonctionnaire, Zombi celui qui se crois au-dessus des la raison, la justice, et la République pour faire de profit à outrance sur le dos du travailleur.


La politique éducative, la politique législative, la société fait tout pour inhiber l’individu du libre arbitre. Dans un formatage sournois, le but étant de laisser une minorité s’occuper de la chose publique et une minorité encore moindre s’enrichir. L’erreur réside dans l’ignorance des conséquences car la société vie en harmonie en proportion de la redistribution du fruit du travail des hommes.

Voilà, mais je reste un grain de sable parmi toutes les plages de la terre, un miroir, qui ne fait que refléter, au pire un gramophone, c’est déjà ça.

La pensée unique et ses conséquences

La pensée unique et ses conséquences

LE DANGER DE LA PENSEE UNIQUE

Joigny jeudi 15 janvier 2009 

par Nestor Elias Ramirez Jimenez

Nombre de sujets écris à l’origine pour les rubriques du forum du journal LE FIGARO, finissent dans quelques blogs de votre serviteur, en général le but de ces réflexions est de trouver par l’échange, la contradiction et le plaidoyer un chemin menant à la raison, la vérité et donc la justice, qui doit être le but ultime de l’humanité et non pas le profit financier en détriment de l’harmonie sociale des peuples. 


 
La lecture de certains commentaires inondés d’haine et d’exacerbation à mon égard, me mène à analyser sur la place de la raison dans la conscience collective. 

Il saurait incalculable le préjudice imparti à la société, par le fait d’abolir la capacité à raisonner. 

La pensée unique est ses dangers  

L’histoire, reste le concessionnaire des preuves de régimes à imposition de la pensée unique. Parmi ceux qu’auront lu, sur les horreurs, des empires Ruse, Chine, ou de la Corée du Nord ou encore les méthodes autoritaires d’une brutalité extrême qui caractérisa L’organisation khmère rouge, Le régime imposé en parti par une grande puissance mondiale en 1973 au Chili; parmi une longue liste.  

Pour moi la démocratie, n’est pas une redite, je crains, que la société individualiste opère un dessaisissement en bénéfice de retour à la pensée unique.  

La paraisse  

Grâce aux médias, et l’abus qu’il on est fait de ceux-ci, l’individu trouve, par la loi de moindre effort, les idées toutes faites, dans la rhétorique impitoyable des hâbleurs. La mise en conformité Le pouvoir du fait d’annonce, la saturation médiatique, et avant tout la méconnaissance des béotiens, impose le sceau donnant l’assentiment des idées.  

Une idée devienne réalité  

En conclusion par la paraisse et l’ignorance (imposé par le système) Le faux devienne vrai.  

Cela explique pour quoi, l’individu devenu zombie au service de la pensée unique, réponds sans se poser le moins du monde la question sur une idée, un sujet, la réalité, la raison et la justice son exclus d’office du lexique des individus.  

ALT attention danger car nous montre l’histoire que cela fini très mal.

Chronique sur l'aliénation et l'effort de l'opposition

Chronique sur l'aliénation et l'effort de l'opposition

petite chronique d’idéologie et actualité par Nestor Elias Ramirez Jimenez

fait à Joigny dans Yonne (bourgogne) le dimanche 11 janvier 2009

Dans le cadre de mes interventions courantes de confrontation à des esprits étriques et obtus de la rubrique "partie socialiste" du forum du journal LE FIGARO, j’apporte ici deux interventions élaborés aujourd’hui.

Sans la moindre difficulté je m’investi à plaider en faveur d’une idéologie, qui couvre bien au-delà de la vision à ouillères, courante dans les clivages sectaires de l’idéologie au pouvoir. Je constate par l’absence de réponse; que les participants manquent de capacité de raisonner en individus pour se limiter à noter les messages, dans un ultime effort dépourvu de qualité et niveau intellectuel. 



Preuve d’aliénation irréversible ?
 
Quelques fois j’aurais assemblé des épitres de standing dérisoire grammaticalement parlant. J’eus incriminé en sémantique, illisible sans doute, ’hégémonie surtout sous forme de bravade; des idées exhortés et dépréciées de tout fondement démocratique et républicain.

Ici et là des esprits folâtres, auraient cherché à renâcler ma perspicacité bien que dénudé (sans doute) de l’indispensable qualité linguistique. Leur caractéristique invariable étant, de se limiter au jugement sur la forme (enveloppe ou apparence des idées qui est la langue) en français, sans la plus modeste tentative intercédant sur le fond; c’est-à-dire la pensée, l’idéologie.

Un semblant donc de réponse, où chaque fois ils auront cédé à la facilité. Ainsi auront témoigné de leur inaptitude face à la force de la raison. 

Le plus courant, leur "signe majeur de force", c’est limité à donner une note faible; le plus petit signe de bravoure intellectuelle. Preuve d’incapacité permettant de tisser une réfutation construite intellectuellement et de taille. 

Je ne suis pour tant pas fière, d’avoir eu raison, dans mes interventions "courantes" sur politique économique, par exemple. Aujourd’hui, cet amas de phrases pour beaucoup incongrues, pour d’autres "gauchistes" dans la définition la plus dénigré imaginable; reste la conclusion la plus modeste et rudimentaire, qu’un enfant pas encore adolescent aurait eu à élaborer; si d’aventure il aurait eu une lecture sommaire des grandes hommes de la philosophie de trois à quatre siècles avant notre ère.

Effort puissance zéro

Le foisonnement de vicissitudes, qui s’auront enchaîné dans les prochains mois. Ferait que le citoyen moyen pensera sans le moindre doute, du mal de la gestion politique, d’un phénomène, clairement déclenché par une bourgeoisie.

Reste facile de par le niveau de compréhension du quidam et béotien de faire l’amalgame entre bourgeois et politique. D’autant plus que la réponse initiale c’est traduit par une pluie morbide de milliards d’euros, en faveur des fautifs. 

Alors que pour le deuxième volet, qui concerne jusqu’alors que les USA, sous la volonté du nouveau président, l’emphase à été porte sur le pouvoir d’achat par la baisse des impôts, qui d’après les estimations représentera une somme de près de 1100 milliards de dollars.

Il y a pour tant parmi les élites intellectuelles dans le monde des pseudos-économistes qui doutent du rôle du consommateur de base dans toute économie. 

Devant ce triste tableau de la société en devenir, l’effort de l’opposition pour s’approprier de la confiance du peuple en vu des commises électoraux de 2012 me semblent sans importance, pour ne pas dire de valeur nulle. Même dans la plus mauvaise des perspectives, l’idéologie d’elle-même s’en charge du prosélytisme  

 

lien internet : http://figaro.concileo.com/user/non-frames/message.asp?forumid=132&messageid=1707714&threadid=1707714&parentid=3

L'Etat devient un clown

L'Etat devient un clown

Chronique sue la carence de raison 

joigny samedi 10 janvier 2009
par Nestor Elias Ramirez Jimenez


A travers l’histoire de l’humanité il y a eu une prééminence des nantis. Quel qu’il soit le strate social, il y a toujours l’attirance pour le pouvoir, le bien être et la domination.

Grâce à des règles établis, par les humains, pour tant; le pouvoir et le bien être, restent possibles pour une minorité ou noblesse.

L’Etat devient un clown

Avec l’évolution du temps, l’histoire nous montre une division au sein de la bourgeoisie. Cette division montre que le pouvoir s’éloigne vertigineusement des affaires de la société. Dis de manière simple la politique devienne orpheline du pouvoir.

Le royaume de l’égoïsme

Le pouvoir se caractérise par des rites et coutumes, l’adoration mystique et fanatique fait partie des règles des hautes sphères du pouvoir. La doctrine basique tende à glorifier ave extravagance un totem, qui change en fonction du temps, de la procession de esclaves, à la procession de terres, de pierres précieuses, jusqu’à la vénération de la monnaie. L’être humain trouve à travers la richesse, une sorte de moyen d’atteindre le moindre désir.

A première vu, dans cette passion fanatique de l’argent il n’y a rien de mauvais, si c’est ne que la bifurcation entre pouvoir et politique génère par l’orphelinat de la république et les intérêts de la société; des contraintes qui débutent sur la forme d’insatisfaction, qui se transforme avec le temps dans des manifestations ou symptômes plus graves (ample gamme de formes de délinquance, violences jusqu’au terrorisme)

L’histoire en juge: plaidoyer pour l’humanisme

Le nombre d’exemples reste prolifique quant aux anonymes pour l’histoire, parmi ceux, des êtres humains pour qui le but aurait resté aussi banal pour l’histoire de l’humanité que significatif en richesse et ostentation éphémère.

Seul restent inscrits dans l’histoire avec des lettres graves dans la conscience collective, les hommes et femmes dotés d’altruisme, des êtres magnanimes, à côte bien entendu des plus tristement célèbres dictateurs et inhumains; il semble à ce stade nullement nécessaire une quelconque apologie des régimes extrémistes, satures d’irrationnel sectarisme. Qui brillent pour l’aliénation et l’esclavage intellectuel, plus proches de la cohésion par l’affinité forcée des consciences que l’harmonie sociale par la recherche de bien être collectif. J’insiste ici sur les fondements de la pensée des pères de la connaissance et la démocratie, appliqué dans la Grèce trois ou quatre siècles déjà avant nous "éminents hommes politiques". Fous furieux du pouvoir sous le masque de la solidarité et investis par erreur leur du scrutin, sans la moindre idée de la République, la démocratie et ses fondements. 

Les politiques devenus bouffons du tout puissant "roi argent"

Qui cherchent à donner une image illusoire d’un pouvoir donc ils ne disposent plus. Dans une volonté de mimétisme ersatz avec les sphères du pouvoir économique. Attesté par exemple lors de l’empressement dans l’adoption de la politiqué au secours du milieu abscons des finances. La société doit en réponse établir un procès de carence de la puissance des nations face au rouleau compresseur de la puissance du commerce de l’argent.

Combien ça coute? les affaire de MADOFF et ces copains!

Combien ça coute? les affaire de MADOFF et ces copains!

Combien ça coute?

dans la photo BERNARD MADOFF responsable de 50 milliards de dollars disparus dans des manipulations ou vulgaire escroquerie


Par Nestor Elias Ramirez Jimenez

Joigny mardi 6 janvier 2008

La petite plaisanterie des jouer de la finance et l’économie en général.

Il y des estimations de l’ordre de 2000 à 3000 milliards d’euros ou de dollars.

Au point où nous sommes avec autant de zéros, difficile de voir la différence.

Allez un petit calcul non exhaustif!

700 milliards de dollar du plan POLSON pour chercher à enrailler la crise vers le mois d’octobre 2008 

Le président des français sort du chapeau 360 milliards d’euros dans le même but, même époque. 

Le gouvernement britannique également avec un dispositif de soutien à huit banques débloquer quelques 200 milliards de livres.

L’Etat allemand recapitalise à hauteur de 8,2 milliards d’euros, et de garantir pour 15 milliards d’euros de nouvelles dettes c’est-à-dire 23,2 milliards d’euros.

Les irlandais ont été sévères car deux présidents de banque ont été forces à rien qu’en décembre 2008 5,5 milliards d’euros ont été apportes par l’Etat en échange de ¼ de participation dans la le droit d’élection du directeur. Deux banques, la "BoI" et "AIB", ont reçu chacune 2 milliards d’euros contre actions ouvrant droit à un coupon de 8 %.

"Garçon s’il vous plaît, c’est combien?

700 US$ milliards égale à 517,7 milliards d’euros pour le plan POLSON, plus les 813.6 US$ du plan du nouveau président des USA. Plus les £ de l’UK, 221 milliards d’euros; plus +, etc.

1 943 416 870 740 euros. J’avoue que ce chiffre ne me dit rien! 

Cela fait combien en années de salaire au SMIC (brut base 35 heures au 1er juillet 2008 1 321,02€)?

Eh bah! Ça alors! 122 595 726 c’est quoi ce chiffre là ? Plus de 122 millions d’années de salaire au SMIC, que de petits "escrocs" se sont mise sans doute dans leur poche! Non! Mais où pourrait bien être tant d’argent alors?

122 millions d’années divisé par l’espérance de vie d’un misérable ouvrier, (dans le milieu industriel l’ouvrier meure avant les 65 ans, allez soyons fous! 67 ans) 122 millions sur 67 ans cela fait 1 million et quelques 859 vies ; voilà un chiffre plus parlant! 

Ou encore 121, 46 millions de voitures à 16000€ ou 12, 14 millions de maisons à 160 000€.

Pour les pauvres quidams qui doivent se lever à trois ou quatre heures du matin, pour aller à l’usine. Pour les boulangers qui doivent pétrir le pain depuis dix ou onze heures du soir pour que madame et monsieur puissent le manger frai en se levant à 7:15 de matin. Pour les millions de maraicher qui chargent leur camion tard le soir des denrées périssables, a fin que le lendemain les étales des supermarchés exhibent des légumes appétissantes. Que des broutilles quoi pour ceux qui cachent la totalité du magot!

SYNDICALISME, UNIONISM

ENGLISH, INGLES, ANGLAIS
Trade unionism and the evolution of society 

Before the development of economic relations within society. Found in the absence of consideration of the human factor. It is fundamental for the future of humans in its broadest definition, a scientific work based on pragmatism and method, with the aim of adapting the norms of society, the conditions of changing trends support of power and the guarantor of harmony between humans and between them and the environment. 

The foundation 

The pillar of the economy or the sinews of war subtle but tangible, is the capital, all actors (governments, international agencies and private institutions, etc..) Attempt to concentrate their efforts in the concentration of wealth . 

Given the effect of this priority, the company is shaky, for several reasons: basically under regulation. This generated major differences in the rest of the components of society. 

A set of inequalities is thus created, which basically a profit-generating benefits of the concentration of wealth. 

Capital as the currency is free to move around the world. Incidentally it allows the benefit of individuals and groups of people from regulating the procedure. 

It seems to me essential to social harmony in the world, a harmony of regulations. Who would make a similar effect on the surface of the land, laws, standards and wages. 

It is up to representing the interests of employees of the earth to take control of this measure in a period as short as possible. In a comprehensive response to a global phenomenon in the form of globalization. Otherwise we are going towards a social catastrophe unprecedented in human history. 

Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ 
Joigny, France, Thursday, 1 January 2009


FRANCAIS, FRENCH
Le syndicalisme et l'évolution de la société

Devant l'évolution des relations économiques au sein de la société. Dans l'absence constaté de considération du facteur humain. Il s'avère fondamental pour l'avenir des humains dans sa définition la plus large; Un travail scientifique basé sur le pragmatisme et la méthode; avec le but d'adapter l'ensemble des normes de la société, aux conditions d'évolution changeante du support du pouvoir et le garant de l'harmonie entre les humains et entre ceux-ci et l'environnement.

Le fondement

Le pilier de l'économie ou le nerf de la guerre sournoise mais tangible, reste le capital; l'ensemble des acteurs (gouvernements, organismes internationales, et institutions privées, etc.) s'efforcent en concentrer leurs efforts dans la concentration de richesse.

Face à l'effet de cette priorité, la société se trouve déstabilisée, à plusieurs titres : fondamentalement au titre de réglementation. Cela généré des différences majeures dans le reste des éléments constitutifs de la société.

Une ensemble d'inégalités est ainsi crée; qui bénéfice fondamentalement un traitement avantageux générant de la concentration de richesse. 

Le capital en tant que monnaie, est libre de circuler à travers le monde. Au passage il permet le profit des personnes et des groupes de personnes de la réglementation la plus avantageuse.

Il me semble indispensable, pour l'harmonie sociale dans le monde, une harmonie de réglementations. Qui aurait pour effet rendre similaire sur la surface de la terre, les lois, les normes et le salaire.

C'est aux représentants des intérêts des salariés de la terre de prendre en main cette mesure dans un délai au plus court possible. Dans une forme de réponse globale à un phénomène global sur la forme de la mondialisation. Dans le cas contraire nous allons vers une catastrophe sociale sans précédents dans l'histoire de l'humanité. 

Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny France, jeudi 1er janvier 2009

Sindacalismo e l'evoluzione della società

Prima dello sviluppo delle relazioni economiche all'interno della società. Trovato in mancanza di considerazione del fattore umano. E 'fondamentale per il futuro degli esseri umani nella sua accezione più ampia, un lavoro scientifico basato sul pragmatismo e metodo, con l'obiettivo di adeguare le norme della società, le condizioni di cambiare le tendenze sostegno del potere e il garante di armonia tra l'uomo e tra questi e l'ambiente. 

La fondazione 

Il pilastro dell'economia o il nerbo della guerra sottile, ma tangibile, è la capitale, tutti gli attori (governi, agenzie internazionali e le istituzioni private, ecc.) Provare a concentrare i loro sforzi per la concentrazione della ricchezza . 

Dato l'effetto di tale priorità, la società è traballante, per diverse ragioni: in fondo ai sensi del regolamento. Questo ha generato notevoli differenze nel resto dei componenti della società. 

Una serie di disuguaglianze è così creato, che fondamentalmente un profitto di produrre dei vantaggi della concentrazione della ricchezza. 

Capitale come moneta è libero di circolare in tutto il mondo. L'altro consente il beneficio dei singoli e dei gruppi di persone che regolano la procedura. 

Mi sembra essenziale per l'armonia sociale nel mondo, l'armonia dei regolamenti. Chi avrebbe un effetto simile sulla superficie della terra, le leggi, norme e dei salari. 

Spetta a rappresentare gli interessi dei lavoratori della terra per prendere il controllo di questa misura in un periodo più breve possibile. In una risposta globale ad un fenomeno globale, in forma di globalizzazione. Altrimenti stiamo andando verso una catastrofe sociale senza precedenti nella storia umana. 

Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ 
Joigny, Francia, Giovedi, 1 gennaio 2009


SPANISH, CASTELLANO
lengua : Castellano

El sindicalismo y la evolución de la sociedad 

Antes el desarrollo de las relaciones económicas dentro de la sociedad. En la ausencia de consideración del factor humano. Es fundamental para el futuro de los seres humanos en su définiciôn más amplia ; un trabajo científico basado en el pragmatismo y el método, con el objetivo de adaptar las normas de la sociedad, a las condiciones de evolución de las tendencias apoyadas por el poder y el garante de la armonía entre los seres humanos y entre éstos y el medio ambiente. 

La fundación 

El pilar de la economía o el nervio de la guerra sutil, pero tangible, es la capital, todos los actores (gobiernos, organismos internacionales e instituciones privadas, etc.) Intento de concentrar sus esfuerzos en la concentración de la riqueza . 

Teniendo en cuenta el efecto de esta prioridad, la empresa es débil, por varias razones: básicamente, en virtud de la regla. Esto generó grandes diferencias en el resto de los componentes de la sociedad. 

Un conjunto es, pues, de las desigualdades creadas, que, básicamente, un beneficio de generación de beneficios de la concentración de la riqueza. 

Capital como la moneda es libre de moverse por el mundo. Por cierto que permite el beneficio de los individuos y los grupos de personas de la regulación del procedimiento. 

A mí me parece esencial para la armonía social en el mundo, una armonía de los reglamentos. Que haría un efecto similar en la superficie de la tierra, las leyes, normas y los salarios. 

Corresponde a la representación de los intereses de los trabajadores de la tierra para tomar el control de esta medida en un período lo más corto posible. En una respuesta global a un fenómeno global en la forma de la globalización. De lo contrario nos vamos hacia una catástrofe social sin precedentes en la historia de la humanidad. 

Néstor Elias RAMIREZ JIMENEZ 
Joigny, Francia, el jueves, 1ro de enero 2009

המסחר unionism ואת ההתפתחות של החברה 

לפני התפתחות היחסים הכלכליים בתוך החברה. מציאה, בהעדר שיקול של גורם אנושי. זהו היסוד עבור העתיד של בני אדם, במסגרת ההגדרה הרחבה, עבודה מדעית מבוססת על השיטה ועל פרגמטיות, במטרה התאמת את הנורמות של החברה, בתנאים של שינוי מגמות תמיכה של כוח לבין ערב של הרמוניה בין בני האדם ובין אותם ואת הסביבה. 

היסוד 

על מצבה של הכלכלה או את sinews מלחמה אך עדין מוחשי, היא הבירה, כל השחקנים (ממשלות, סוכנויות בינלאומיות ופרטיים, מוסדות, וכו '.) ניסיון לרכז את מאמציהם של ריכוז של העושר . 

בשל ההשפעה של עדיפות זו, החברה לא יציב, מכמה סיבות: בעצם תחת תקנה. זה שנוצר ההבדלים העיקריים שאר הרכיבים של החברה. 

קבוצת inequalities ובכך הוא יוצר, אשר בעצם רווח-היתרונות של יצירת ריכוז של עושר. 

הון כפי המטבע הוא חופשי לנוע ברחבי העולם. אגב היא מאפשרת את היתרון של יחידים וקבוצות של אנשים regulating הנוהל. 

נראה לי מהותי החברתיים הרמוניה בעולם, על הרמוניה של התקנות. מי מעוניין ליצור אפקט דומה על פני הקרקע, חוקים, תקנים ו שכר. 

זה תלוי, המייצג את האינטרסים של עובדי האדמה, כדי לקחת את השליטה על אמצעי זה בתוך פרק זמן קצר ככל שניתן. בשנת מקיפה בתגובה גלובאלי התופעה בצורה של גלובליזציה. אחרת אנחנו הולכים לקראת קטסטרופה חברתית חסרת תקדים בהיסטוריה האנושית. 

Nestor אליאס JIMENEZ רמירז 
Joigny, צרפת, יום חמישי, 1 בינואר 2009

Русский язык

Профсоюзного движения и эволюции общества 

Прежде чем развитие экономических отношений в обществе. Найдено в отсутствие рассмотрения человеческий фактор. Оно имеет основополагающее значение для будущего людей в самом широком определении, научные работы на основе прагматизма и метод, с целью приведения норм общества, в условиях изменяющихся тенденций поддержка власти и гарантом гармонии между людьми и между ними и окружающей средой. 

Фундамент 

Столп экономики или сухожилия войны тонкие, но ощутимые, является столицей всех субъектов (правительств, международных агентств и частных учреждениях и т.д..) Попытка сконцентрировать свои усилия на концентрации богатства . 

Учитывая последствия этого приоритета, компания сомнительна по нескольким причинам: в основном в соответствии с положением. Это вызвало серьезные разногласия в других компонентов общества. 

Набор неравенство, таким образом, создается, которые в основном прибыли генерирующих преимущества концентрации богатства. 

Капитал как валюта свободно перемещаться по всему миру. Кстати он позволяет в интересах отдельных лиц и групп людей, регулирующие процедуры. 

Мне кажется, важно социальную гармонию в мире, гармонии правилами. Кто бы аналогичный эффект на поверхности земли, законы, стандарты и заработной платы. 

Именно от представляющего интересы работников землю взять под контроль эту меру в течение как можно более коротким. В рамках всеобъемлющего ответа на глобальные явления в виде глобализации. В противном случае мы идем в направлении социальной катастрофой беспрецедентных в истории человечества. 

Нестор Илья РАМИРЕС ХИМЕНЕС 
Joigny, Франции, в четверг, 1 января 2009 года

 社会での経済関係の発展する前に。人間の要因を考慮がない状態で見つかりました。人間の将来のための広範な定義は、科学の基本的な作業に基づいている実用主義と法、社会の規範の適応を目的とし、トレンドの変化の条件パワーと人間との調和を支援する人の保証人と環境との間。 

同財団 

経済や戦争が微妙な有形の元手の柱は、資本金は、すべてのアクター(政府、国際機関や民間機関等です。 )富の濃度での努力を集中することを試み。 

この優先順位の影響を考えると、同社は、いくつかの理由で不安定です:規制は基本的に下。社会のコンポーネントの残りで、この生成大きな違い。 

不平等のセットこれは、基本的には利益の富が集中することの利点を生成作成されます。 

首都としての通貨は、世界中を移動して自由である。ちなみにこれは、手順を調整できますから、個人やグループの人々の利益。 

私には思わ世界で社会の調和、規制の調和に欠かせない。人の土地は、法律の表面に、賃金を基準と同様の効果をもたらすだろう。 

それを地球の従業員の利益を代表するように時代に、この測定の支配権を握る可能な限り短くすることです。グローバル化の形で世界的な現象への包括的対応しています。そうでなければ我々は人類の歴史で前例のない社会的な破局に向かっている。 

エリアスラミレスネストルヒメネス 
ジョアニー、フランス、 2009年1月1日(木)

PORTUGUES
Antes do desenvolvimento das relações económicas no seio da sociedade. 

Encontrado na falta de consideração do fator humano. É fundamental para o futuro do ser humano na sua mais ampla definição, um trabalho científico baseado no pragmatismo e método, com o objectivo de adaptar as normas da sociedade, as condições de mudar as tendências apoio do poder e garante da harmonia entre os seres humanos e entre estes eo ambiente. 

A fundação 

O pilar da economia de guerra ou os nervos sutis, mas tangíveis, é a capital, todos os atores (governos, agências internacionais e instituições privadas, etc.) Tentativa de concentrar seus esforços na concentração da riqueza . 

Dado o efeito desta prioridade, a empresa é precária, por várias razões: basicamente sob regulação. Isto gerou grandes diferenças no resto dos componentes da sociedade. 

Um conjunto de desigualdades é assim criado, que basicamente um lucro de geração de benefícios da concentração de riqueza. 

Capital como a moeda é livre para se deslocar ao redor do mundo. Aliás ele permite que o benefício de indivíduos e grupos de pessoas de regulamentar o procedimento. 

Parece-me essencial para a harmonia social no mundo, uma harmonia de regulamentos. Quem poderia fazer um efeito similar sobre a superfície do solo, leis, normas e os salários. 

Cabe aos que representam os interesses dos trabalhadores da terra, para tomar o controlo da medida em um período tão breve quanto possível. Em uma resposta global a um fenómeno global, sob a forma de globalização. Caso contrário, vamos rumo a uma catástrofe social sem precedentes na história humana. 

Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ 
Joigny, França, quinta-feira, 1 de Janeiro de 2009

QUE VEUT DIRE ETRE DE GAUCHE en France?

Que veut dire être de gauche en France?

original écrit en français (traduccion al castellano debajo)

Auteur : Joseph Fornés.


D’abord les fondamentaux.
 
Que veut dire être de gauche ? 

C’est mettre la priorité sur l’être humain, c’est vouloir avant toutes choses et pour tous, le progrès humain et social, progrès de la qualité de vie mais également progrès de la connaissance et de l’intelligence.

C’est avoir pour principes la liberté, l’égalité, la fraternité.

C’est adhérer aux valeurs qui découlent de ces principes : la laïcité, la tolérance, le respect des autres et de la personne humaine, la solidarité, la démocratie.

Déclinons maintenant ces fondamentaux pour donner des guides de comportement par rapport aux grandes questions d’aujourd’hui : le libéralisme économique, la mondialisation, le travail, la sécurité, l’immigration, l’écologie, l’Europe, le communautarisme, la nation, l’éducation, etc. La liste n’est pas exhaustive. 

Si l’on fait cette opération de manière rationnelle en évitant le prêt à penser de gauche habituel on aboutit à des propositions iconoclastes mais qui servent l’objectif donné ci-dessus. Par contre on se rend compte que, loin des "lieux communs", être de gauche est une exigence, pour soi comme pour les autres.

Le travail :
 
Le travail comme participant au progrès général ou individuel et comme facteur d’épanouissement intellectuel ou physique, d’entreprise, de création, d’apprentissage, d’échange, est à n’en pas douter une valeur de gauche. 

Par contre le travail abrutissant, mange temps et facteur d’usure intellectuelle ou physique, doit être réduit au minimum nécessaire et laisser un large temps libre pour d’autres activités plus épanouissantes. Au slogan de la droite « travailler plus pour gagner plus », la gauche doit répondre « travailler mieux et plus intelligemment pour le bien de tous et de chacun ». 

Une réponse de gauche c’est donc l’amélioration constante de l’efficacité et de la qualité du travail par l’éducation, les investissements, la recherche, l’organisation, les infrastructures, la formation, l’automatisation qui libère des tâches pénibles et sans intérêt. C’est aussi la réduction du temps de travail pour permettre de s’occuper de sa famille, de se cultiver, de bricoler, de donner du temps à des associations altruistes, etc. (bref pour du travail toujours, mais non rémunéré). Il faudrait inventer une nouvelle méthode calcul du PIB qui intègres toutes les activités amenant du progrès à la société et qui compte négativement celles amenant des nuisances. 

On peut en déduire que la gauche doit rejeter l’assistanat comme ne servant ni l’individu ni la collectivité. L’aide aux personnes en difficulté doit consister à leur permettre de rejoindre le peloton des personnes actives (« apprendre à pêcher plutôt que de donner du poisson ») et doit donner lieu à contribution de la part des personnes aidées.

L’entreprise et le libéralisme économique :
 
L’entreprise sous toutes ses formes, commerciale ou association, à but lucratif ou non, est un facteur de création, de progrès et d’accomplissement individuel ou collectif et doit par conséquent être encouragée. La liberté de chacun s’arrêtant là où commence celle des autres, la gauche doit cependant réguler l’économie pour que le succès de certaines entreprises ne se traduise pas au final par des régressions humaines individuelles ou collectives.

La richesse : 

L’honnête enrichissement de certains, personnes ou collectivités (entreprises commerciales ou associations), constitue non seulement une juste récompense et un encouragement pour l’esprit d’entreprise, la créativité, l’effort ou la prise de risques mais donne également les moyens – le capital – nécessaire pour les actions à venir et le bien de tous, d’autant que l’investissement de capital a un effet multiplicatif sur la production de richesses à partager. 

Tous les facteurs qui contribuent au progrès de la société doivent être encouragé par la gauche et l’enrichissement est l’un de ces facteurs.

L’égalité des droits et des chances ne signifie pas l’égalitarisme qui nivelle par le bas et qui finalement nuit à tous par sa faible entropie. Le succès de quelques uns tire les autres vers le haut. Par contre la gauche doit faire très attention à ce que les situations établies n’empêchent pas l’émergence d’autres richesses, d’autres succès. Il faut éviter le blocage des situations sociales, les coteries, et autres freins à la fluidité sociale. Elle doit par exemple réduire la transmission à des héritiers qui ne seraient que des rentiers par différents moyens appropriés. Elle doit également bien sûr veiller à ce que l’enrichissement ne soit pas le résultat d’agissements malhonnêtes et de l’exploitation des plus faibles.

La mondialisation : 

La mondialisation est un facteur de paix et de progrès dans la mesure où elle favorise les échanges de biens, la circulation des personnes et des idées. Néanmoins, nous pouvons constater que seuls les échanges de biens sont traités dans les accords internationaux. La gauche doit donc introduire des règles facilitant la diffusion du progrès humain dans ces accords en échange des traités économiques. La gauche doit également assurer un certain protectionnisme vis-à-vis d’une concurrence extérieure déloyale, c’est-à-dire ne respectant pas ses principes, pour permettre au travail d’être un facteur de progrès humain.

La nation :
 
la nation et tous ses oripeaux (drapeau, hymne) ne sont certainement pas des valeurs de gauche. La nation, comme le communautarisme, c’est vouloir enfermer les individus, au prétexte qu’ils sont nés sur un territoire dit national, dans un système de prétendues valeurs jusqu’à être prêt à mourir pour elles. La nation, c’est la guerre aux autres et l’excuse de soi. Les principes et valeurs de la gauche ne sont pas nationaux mais universels. La gauche est donc universaliste, internationaliste, cosmopolite, même si, pour des raisons pratiques, elle est contrainte d’agir dans le cadre de territoires géographiques limités.

L’Europe :
 
de ce qui précède sur la nation, on conclura rapidement que la gauche doit être Européiste, non pas pour créer une nouvelle nation européenne à un échelon supérieur, mais pour assurer la paix, le progrès économique, social et culturel ainsi que la libre circulation des individus et des idées. Et au-delà de l’Europe, il faut rechercher une gouvernance mondiale dans le même but.

La Turquie en Europe : 

Tout ce qui peut favoriser l’expansion des idées de progrès humain et social doit être mis en œuvre et l’entrée de la Turquie dans l’Union Européenne fait partie de cela, même si les choses ne sont pas si simples et qu’il convient d’y aller intelligemment. Il ne peut y avoir, pour la gauche, d’autres raisons que pratiques et techniques pour limiter l’élargissement de l’Europe.

Le communautarisme : 

Le communautarisme, c’est comme la nation, un enfermement des individus dans des valeurs et des traditions sous le prétexte qu’ils sont les enfants de cette communauté. La gauche doit donner la possibilité aux enfants, adolescents et jeunes gens de quitter leur communauté d’origine pour embrasser le monde par l’éducation, la mixité culturelle, les voyages d’étude etc. C’est la condition sine qua non pour un bon fonctionnement de l’ascenseur social comme le montrent les études sociologiques sur le sujet.

Les traditions : 

Les traditions obligent, demandent à être respectées, enferment. Tradition n’est pas un mot de gauche. La gauche doit lui préférer les mots histoire et culture. La culture nourrit la réflexion de chacun et elle évolue car elle peut être enrichie, notamment au contact de la culture des autres.

La religion : 

idem pour les traditions religieuses et le communautarisme religieux. La gauche doit être laïque et la religion maintenue dans la sphère individuelle.

L’immigration clandestine : 

L’immigration clandestine pose un difficile problème à la gauche car s’y opposer c’est aller semble-t-il à l’encontre de ses généreux principes de progrès humain universel et de libre circulation des biens, des personnes et des idées. Il faut ici admettre le principe très humain, applicable pour les individus comme pour les groupes, que l’on ne peut aider les autres à ses propres dépends. La gauche doit donc aussi lutter contre l’immigration clandestine. Elle doit le faire de la manière la plus humaine possible en démantelant les filières, en punissant les employeurs ou les logeurs, en rendant l’immigration légale plus transparente et juste (ce qui redonnera de l’espoir aux candidats à l’immigration et évitera les actes suicidaires) et surtout en contribuant à installer dans les pays d’origine les conditions d’une vie correcte à travers par exemple l’aide aux ONG (pour éviter les détournements de fonds par les gouvernements suspects).

L’écologie :
 
Dans la mesure où le bien-être et le progrès de l’humanité sont concernés, la gauche doit se préoccuper de problèmes tels que l’effet de serre ou la diversité biologique et veiller à créer et maintenir un environnement (durable) favorable à l’épanouissement humain. Cela peut passer par la promotion des énergies renouvelables et celle de l’efficacité énergétique. La gauche ne doit cependant pas s’interdire de modifier l’environnement pour l’améliorer (il n’y a pas un environnement naturel et un environnement artificiel. L’homme et le résultat de ses actions, comme le résultat des actions de l’ensemble du règne animal et végétal – cf. les récifs coralliens - font partie de la dite nature). Ce que l’on peut et doit faire du point de vue de la modification de l’environnement est question de démocratie et d’intelligence. En tout état de cause, le retour à la lampe à huile ne peut pas être un objectif de gauche.

L’énergie nucléaire : 

L’énergie nucléaire a l’énorme avantage de fournir l’énergie dont le progrès humain a besoin sans produire de gaz à effet de serre. Elle présente néanmoins des risques importants au niveau industriel (accident nucléaire), politique (dissémination de l’arme nucléaire) et de pollution par les déchets. La gauche ne doit pas rejeter l’énergie nucléaire qui reste encore indispensable, mais agir pour la mitigation des risques engendrés. Elle doit donc investir dans la recherche dans les domaines du traitement des déchets, de la sécurité, de la fusion nucléaire, favoriser les filières peu compatibles avec l’armement nucléaire, agir diplomatiquement pour un contrôle international de l’énergie nucléaire. Et bien sûr promouvoir la recherche dans des énergies renouvelables abondantes et moins dangereuses.

Les OGM : 
La gauche doit favoriser la recherche scientifique, sur les OGM comme sur tous les autres sujets, même les plus délicats (embryon) dans le respect de l’éthique et des précautions d’usage et dans la transparence. L’amélioration des connaissances, de toutes les connaissances, est une valeur de gauche.

Les services publics : 
Le rôle d’un état de gauche serait de mettre en place et de maintenir les structures communes - ou services publics - assurant le bon fonctionnement général de la société, l’efficacité de son activité, l’égalité d’accès à ces structures, et de faire en sorte que ces structures conduisent au progrès humain. Cela ne veut pas dire que ces services publics doivent être exécutés par l’état lui-même. Cela n’est certainement pas un gage d’efficacité par rapport à des entreprises ou des associations expertes dans le domaine et ayant d’autres modes de recrutement et d’organisation plus adaptés. L’état doit simplement établir des cahiers des charges précis et contraignants, mettre les fournisseurs de service en concurrence et vérifier les résultats régulièrement. La soi-disant défense du secteur public, qui n’est en fait que la défense d’avantages catégoriels et qui énerve tant de nos concitoyens, va en fait à l’encontre de l’amélioration de l’efficacité de ces services et par conséquent de la compétitivité de la société entière. Elle a l’inconvénient de dresser l’une contre l’autre deux parties de la société : la société civile et les fonctionnaires. D’ailleurs il ne devrait pas y avoir de fonctionnaires, seulement des compétences, des métiers, et le citoyen devrait pouvoir travailler alternativement au cours de sa carrière dans des sociétés privées ou pour l’état, ce dernier embauchant selon ses besoins et selon les compétences requises.

L’éducation : 
l’éducation est bien sûr une action prioritaire pour la gauche avec la nuance qu’il ne s’agit pas seulement de former de futurs travailleurs meilleurs et plus efficaces mais surtout des citoyens intelligents et sensibles capables de s’épanouir, d’entreprendre, de créer, etc. , pour leur bien et pour celui des autres (voir la valeur travail). Il faut donc enseigner non seulement des matières scientifiques mais également la philosophie qui permet de raisonner, la sociologie qui permet de comprendre la société, les arts qui permettent de ressentir, etc. Ce sera bon pour les individus mais également pour la collectivité : intelligente et sensible, la France sera plus forte. Une remarque : si l’enseignement est un métier, j’ai pu constater que mes meilleurs professeurs étaient des gens plutôt âgés et qui étaient venus à l’enseignement sur le tard lorsqu’ayant exploré toutes les possibilités de leur carrière et bâti leurs désirs, il leur est venu l’envie de transmettre leurs connaissances et leur expérience aux jeunes générations. Voilà qui plaide pour des possibilités de passerelle entre les carrières.

La culture : 
la culture, comme l’éducation doit être une priorité de la gauche afin de former des citoyens intelligents et sensibles, capables de créativité et de raisonnement. Objectif majeur : faire reculer la « beaufitude » ! Comment faire en laissant la liberté de choix aux citoyens ? (il n’est certainement pas question de faire le bonheur du peuple malgré lui). C’est la question à résoudre à laquelle je cherche personnellement en vain une réponse dans mes activités associatives.

La liberté : 
c’est, à n’en pas douter un principe de gauche même lorsqu’il s’agit de liberté économique (voir plus haut sur l’entreprise et le libéralisme économique). Parmi les libertés menacées aujourd’hui en France même : la liberté de la presse, la liberté de critique de la religion (que certains appellent blasphème), la liberté des femmes dans « certains quartiers », la liberté syndicale dans les PME, la liberté architecturale (demandez aux architectes ce qu’ils en pensent), la liberté de la recherche scientifique,…

La démocratie : 
la démocratie c’est le régime politique qui fait que chacun est acteur de son destin et du destin de ses compatriotes. L’expérience montre que la démocratie est le seul régime permettant le progrès humain et est donc un impératif pour la gauche. Or contrairement à ce qu’ont claironné la plupart des média, la forte participation à l’élection présidentielle traduit en fait un déficit de démocratie et la crise de la représentativité. Les causes sont connues : féodalisme dans les partis politiques (on n’en parle pas assez mais pour qui est militant c’est vraiment une chose terrible), faible représentativité syndicale, absence de transparence sur les décisions des représentants à tous les niveaux (de la commune à l’état), absence d’évaluation des politiques, régime présidentiel charismatique et parlement croupion,… Des mesures utiles ont été avancées par Ségolène Royal : non cumul des mandats, limitation à deux mandats consécutifs, augmentation de la représentativité syndicale (comment ?), éclaircissement des compétences, évaluation de l’action politique par des jurys citoyens, démocratie participative. Soyons conscients cependant que la démocratie est une exigence et que le citoyen doit non seulement être acteur mais également s’informer et acquérir des compétences…

La sécurité : 
la sécurité ce n’est pas de mettre plus de policiers, de barrières, d’alarmes, de systèmes de détection, de caméras, etc. Lorsqu’il en est ainsi, c’est que l’on a peur et la peur est l’antinomie de la liberté. La vraie sécurité c’est de pouvoir dormir tranquille toutes portes et fenêtres ouvertes ou de pouvoir oublier son sac dans un magasin et de le retrouver, et cela suppose non pas des mesures sécuritaires mais une évolution des mentalités (par exemple que tous soient garants de tous, que l’honnêteté l’emporte sur le cynisme), évolution qui peut être obtenue par l’éducation, l’égalité et la solidarité. La fraternité et l’honnêteté, voilà les principes de gauche propres à lutter contre l’insécurité.

Le gauchisme : 
la gauche n’est pas le parti des travailleurs et des classes populaires. Pas seulement en tout cas. Elle est le parti de tous ceux et celles qui privilégient le progrès de l’humain, qu’ils soient eux-mêmes riches ou pauvres, travailleurs, chefs d’entreprise ou rentiers. La gauche c’est avant tout le parti de l’intelligence, de la sensibilité et du progrès humain. La dictature du prolétariat, comme toute idée de dictature, est une idée d’extrême droite ! Prendre aux riches pour donner aux pauvres, c’est simpliste et c’est tout simplement du vol. C’est nier le mérite de l’action, de l’intelligence, de la créativité, de la prise de risques et l’apport que ces qualités ont pour la société entière. C’est autre chose que d’organiser la solidarité et les services de l’état par un impôt juste utilisé pour le bien de tous (et pas seulement celui des pauvres même si ce sont eux qu’il convient d’aider le plus). La justice appliquée à tous, riches ou pauvres, est un principe de gauche. Le mérite est également une valeur de gauche.

Joseph Fornés.
Militant PS, ingénieur, animateur d’association culturelle
29 mai 2007

Ecrit par : Joseph Fornés | 31.05.2007

QUE SIGNIFICA LA IZQUIERDA IDEOLOGICA ?

Autor :José Fornés.

traduccion al castellano de Nestor Elias Ramirez Jimenez


En primer lugar los conceptos básicos.
 
que significa la izquierda?

Es asentuar la prioridad en el ser humano, es en primer ante todo y para todos, el progreso humano y el progreso social, progeso en la calidad de vida como también el avance de los conocimientos y la inteligencia.

Se trata de admitir como principios la libertad, la igualdad, la fraternidad.

Es adhérir a los valores derivados de estos principios: la laicidad, la tolerancia, el respeto por los demás y la persona humana, la solidaridad, la democracia.

Declinemos estos principios fundamentales para orientar el comportamiento en relación con los principales temas de actualidad: el liberalismo económico, la globalización, el trabajo, la seguridad, la inmigración, la ecología, Europa, comunitarismo, la nación, la educación. La lista no es exhaustiva...

Si hacemos esto de manera racional, evitando la concesión "todo hecho" de la izquierda, esto nos conduce al pensamiento iconoclasta, pero soportando el objetivo anteriormente citado. Uno se da cuenta de que, lejos de la "apariencia", ser de izquierda es un requisito, por sí mismo y para todos.

Trabajo:
 
El trabajo en general en tanto que un factor de progreso y de desarrollo físico o intelectual, el espíritu empresarial, la creatividad, el aprendizaje, el intercambio, son, sin duda, valores de izquierda.

En cambio trabajando brutalmente contra el tiempo,es factor de desgaste físico o intelectual, pour lo cual debe reduirse al mínimo y dejar un gran tiempo libre para otras actividades más satisfactorias. Contre el lema de derecha "trabajar más para ganar más", la izquierda debe responder "a trabajar mejor y más inteligente para el beneficio de todos y cada uno".

Una respuesta de la izquierda es que la constante mejora de la eficiencia y la calidad del trabajo a través de la educación, la inversión, investigación, organización, infraestructura, formación, automatización que liberade tareas pesadas y poco interesantes. Es también la reducción de las horas de trabajo para ayudar a cuidar de su familia, para crecer, jugar, para dar tiempo a las asociaciones altruistas, etc. (siempre para el trabajo, asî sea no remunerado). Hace falta inventar un nuevo método de calcular del PIB, que incluye todas las actividades conducentes al progreso en la sociedad y calcular aquellas negativas que causan las perturbaciones.

Esto sugiere que la izquierda debe rechazar el la ayuda social sin aporte ya sea el individuo o la comunidad. La asistencia a personas en crisis debe servir a que puedan unirse a las filas de los empleados ( "aprender a pescar en vez de dar peces") y debe genarar un aporte de la gente ayudada.

La empresa y el liberalismo económico:

La empresa en todas sus formas, de comercio o asociación, con o sin ánimo de lucro, es un factor de la creatividad, el progreso y la satisfaciôn individual o colectiva, por lo que debe fomentarse. La libertad del individuo termina cuando el donde comienza la del otro, la izquierda, sin embargo, debe regular la economía para el éxito de algunas empresas no den lugar al final a la regresión humana, individual y colectiva.

Riqueza:

El honesto enriquecimiento de algunos individuos o comunidades (o asociaciones de empresas comerciales), no sólo es una justa recompensa y los incentivos para la iniciativa empresarial, la creatividad, el esfuerzo y la aceptación de riesgos, sino también garantîa de los medios - el capital - indispensable a las futuras acciones en bien de todos, sabiendo en lo que respecta a la inversión de capital qie tiene un efecto multiplicador en la producción de riqueza para compartir.

Todos los factores que contribuyen al progreso de la sociedad debe ser alentados por la izquierda y el enriquecimiento es uno de esos factores.

Igualdad de derechos y oportunidades que no significa igualitarismos que en última instancia perjudica a todos por su baja entropía. El éxito de algún empuja los otros hacia arriba. Por tanto la izquierda debe tener cautela frete al statu quo no excluya la aparición de otras formas de riqueza, otros éxitos. Evitar situaciones de bloqueo, camarillas sociales, y otras barreras a la fluidez social. Hay, por ejemplo, necesidad de reducir la transmisión a los herederos que no son más que rentistas por diferentes medios. También debe, por supuesto, garantizar que el enriquecimiento no es el resultado de conducta deshonesta y la explotación de los débiles.

Globalización:

La globalización es un factor de paz y el progreso en la medida en que promueve el intercambio de mercancías, la circulación de personas e ideas. Sin embargo, podemos ver que sólo el comercio de mercancías se tratan en los acuerdos internacionales. La izquierda tiene que introducir normas para facilitar la difusión de los avances humanos y sociales en estos acuerdos a cambio de tratados económicos. La izquierda también debe proporcionar una cierta protección contra la competencia extranjera desleal, es decir, no respetan sus principios, a fin de que el trabajo sea un factor en el progreso humano.

La Nación:
 
La nación y todos sus chiros (bandera, himno) no son ciertamente los valores de la izquierda. La nación como el comunalismo, bloquea las personas, con el pretesto que han nacido en el territorio nacional, en un supuesto sistema de valores que considera que estaría dispuesto a morir por ellos. La nación es la guerra a los otros y la excusa de su libetad. Los principios y valores de la izquierda no son de orden nacional sino universal. La izquierda es, por tanto, universal, internacional, cosmopolita, aunque por razones prácticas, se ve obligada a actuar dentro de las zonas geográficas limitadas.

Europa:
 
de lo anterior en cuanto al país, la conclusión rápida serîa que la izquierda debe ser européista, no para crear una nueva nación europea a un nivel superior, pero para garantizar la paz, el progreso económico, social y cultural, así como la libre circulación de personas e ideas. Y más allá de Europa, tenemos que buscar un gobierno mundial para el mismo propósito.

Turquía en Europa:

Todo lo que puede promover el crecimiento de las ideas de progreso humano y social deben aplicarse y la entrada de Turquía en la Unión Europea hacen parte, incluso si las cosas no son tan simples y es conveniente de avanzar con inteligencîa. No puede haber por la izquierda, que la excepción de razones prácticas y técnicas para limitar la expansión de Europa.

Comunitarismo:

Comunitarismo es como la nación, una prisión de las personas en los valores y tradiciones con el pretexto de que son los niños de esta comunidad. La izquierda debe comprometerse con los niños, adolescentes y jóvenes a abandonar sus comunidades de origen para abrazar el mundo a través de la educación, la diversidad cultural, viajes de estudio etc. Esta es la condición sine qua non para el buen funcionamiento de la escala social, como se muestra en los estudios sociológicos sobre el tema.

Tradiciones:

La tradición exige, deben ser respetada, trampa. La tradición no es una palabra de la izquierda. La izquierda tiene que preferir las palabras: la historia y la cultura. Cultura nutre la reflexión de todos y está evolucionando, ya que puede ser ampliada, en especial en contacto con la cultura de los demás.

Religión:

ídem por las tradiciones religiosas y el comunitarismo. La izquierda debe ser laico y la religión mantenida en la esfera individual.

La inmigración ilegal:

La inmigración ilegal plantea un problema difícil a la izquierda, ya que oponerse es al parecer contrario a su generoso principio universal de progreso humano y la libre circulación de bienes, personas e ideas. Aquí hemos de admitir el principio muy humano, aplicable a individuos y grupos, podemos ayudar a otros a sus propias expensas. La izquierda también debe luchar contra la inmigración ilegal. Debe hacerlo de la forma más humana con el método de desmantelamiento de cadenas, sancionar a los empleadores y los propietarios, al hacer más transparente la inmigración legal y justa (que pueda dar una esperanza a los recién llegados y evitar actos suicidas) y, sobre todo, ayudando a instalar en el país de origen la gente en condiciones de vida decente, por ejemplo, mediante el apoyo a las ONG (para evitar el desvío de fondos por parte de los gobieronos corrompidos).

Ecología:
 
En lo que se refiere al bienestar y el progreso de la humanidad, la izquierda debería ocuparse de cuestiones como el "efecto de invernadero" y la diversidad biológica, garantizar, crear y mantener un medio ambiente (sostenible) a favor de "el desarrollo humano. Esto puede implicar la promoción de las energías renovables y la eficiencia energética. La izquierda, sin embargo, no se debe permitir modificar el medio ambiente para mejorar (no se trata de un medio ambiente natural y un entorno artificial. El hombre es el resultado de sus acciones, como resultado de las acciones de todo el reino vegetal y animal - cf. arrecifes de coral - forman parte de ese tipo). Lo qué podemos y debemos hacer en términos de cambios en el medio ambiente es una cuestión de democracia y de inteligencia. En cualquier caso, la vuelta a la lámpara de aceite no puede ser un objetivo de izquierda.

La energía nuclear:

La energía nuclear cuenta con la enorme ventaja de proporcionar la energía que necesita el progreso humano sin producir gases de "efecto invernadero". Sin embargo, hay riesgos significativos en el sector industrial (de accidentes nucleares), políticos (propagación de las armas nucleares) y la contaminación por residuos. La izquierda no debe rechazar la energía nuclear, que sigue siendo esencial, pero tomar medidas para mitigar los riesgos implicados. Por lo tanto, debe invertir en investigación en el dominio de los residuos, la seguridad, la fusión nuclear, la promoción de las filiales difícilmente compatible con las armas nucleares, actuar diplomáticamente para el control internacional de la energía nuclear. Y, por supuesto, promover la investigación en energías renovables abundantes y menos peligrosas.

OMG:
La izquierda debe promover la investigación científica sobre los OGM, como en todos los demás temas, incluso los más delicados (embrión) con respecto en materia de ética y precauciones de uso y con toda la transparencia de rigor. La mejora del conocimiento es un valor de la izquierda.

Servicios públicos:

el papel de un Estado implica crear y mantener las estructuras - los servicios públicos - garantizar el buen funcionamiento de la sociedad, la eficacia de su actividad, la igualdad da acceso a estas estructuras, y asegura que estas estructuras soporten el progreso humano.

(fin temporal de traduccion )

C'EST QUOI LE CAPITALISME ?

C’est quoi le capitalisme?

Cela reste inique, voir une insulte de nous jours croire qu’un citoyen ignore la définition du système capitaliste en France.

Dans un dictionnaire "Flammarion" 

Nous trouvons [nom masculin], Régime économique et social fondé sur le capital. (2) L’ensemble de puissances capitalistes.

Dans un dictionnaire "Larousse" 

[Nom masculin] système économique et social fondé sur la propriété privée des moyens de production et d’échange. (Le capitalisme se caractérise pour la recherche de profit, l’initiative individuelle, la concurrence entre les entreprises) (2) Régime économique, politique et social qui selon la théorie marxiste et régi par la recherche de la plus-value grâce à l’exploitation des travailleurs par ceux qui possèdent les moyens de production et d’échange.

Bien sur qu’il est impossible de faire coïncider la définition avec la volonté individuelle de chacun.

J’ai viens d’initier un sujet dans la rubrique parti socialiste du journal LE FIGARO, devant des supposés citoyens courants. Donc en principe dotez de raison.

J’ai eu des critiques faisant allusion à ma piètre métrise "que je reconnais et je regrette d’ailleurs" de la langue, puisque je suis arrivé sur le sol de Molière à l’âge de trente ans.

Mais chacun est ici libre de faire un tour sur le site du forum et prélever les fondements par lui-même de l’argumentaire pour le moins faible de mes interlocuteurs. Je vous inclus en conséquence le lien:

http://figaro.concileo.com/user/non-frames/list.asp?forumid=132&threadid=1699807&pn=1&sk=5&sb=&tl=&ib=Y

Voici ma première réponse: 


Petit exercice de diversion "amusant"

Je constate comme j’ai déjà souligné d’ailleurs que certains métiers disposent d’un lexique propre.

A ce stade en guise de réfutation il est normal de trouver déconcertés ici et la des sobriquets dans l’incapacité à songer, voir s’astreindre à soulever le niveau intellectuels des échanges d’une rubrique.

Il me semble d’ailleurs que l’on doit écrire …"peut-être brillants en leurs temps" que "peut-être brillants en leut temps"

Ecrivons claire donc!

Le capitalisme en tant que dénomination "arbitraire" est donné à un système, dans sa plus large définition: 

Ainsi tout mouvement de monnaie, de titres, de capital sous la forme de mouvement "financier" reste assujetti au système capitaliste en tant qu’empire. 

En apologie à l’empire soviétique, l’empire Egyptien, ou l’empire Ottoman, etc. 

Cela me semble claire néanmoins ainsi a été enseignait par mes nobles professeurs quand j’avais 10 ans. Confirmé par la suite pour d’autres pédagogues jusqu’au moment de quitter les bancs de l’UTP. 

Les biens, la production, les immobilisations, les infrastructures, ne sont pas le capitalisme. 

Pour tant peuvent recevoir cette dénomination par "extension". 

La propriété privée, existe bien avant l’empire capitaliste; bien avant l’empire ou système de monarchie, car dans ma définition justement empire et régime ont une signification semblable du au rôle du commandement ou d’autorité que les deux représentent.

La finance, reste un terme prosaïque, encore une fois de plus donnée par "extension" au travail sous forme de métier; 

Ne disons nous "lui travail dans la finance" comme nous disons "j’ai des difficultés financières" ou point que la définition de finance semble aller de paire avec le système lui-même:

Car le capitalisme reste un système, qui cherche à assurer les échanges, sous forme de production de tout genre, sur une base mantes fois faussé de marché et libre échange. 

A travers la lecture de vos textes je me rends immédiatement compte à qui j’ai à faire, je ne sais pas écrire en français, mais vous savez la lecture ne me posse le moindre problème.  

J’ai vite compris que face à mon intention d’élever le débat sur le système capitaliste et ses dérives notamment en termes d’éthique. Il y a des individus qui se sentent gènes soit par ignorance soit par malaise? A vous de vous identifier.

Again, i’ts for me very badly, because I don’t speak very well in French