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LIBERTAD Y ORDEN

LIBERTAD Y ORDEN

De la polarización a la libertad de expresión

Por Nestor Elias Ramirez Jimenez

Monteria Cordoba Colombia, sabado 21 de abril del 2012

A mis modelos:

Hollam Morris, Claudia Lopez, a Contravia y todo su equipo


A mis ilustres institutores:

Dedicado a mis profesores de sociología Julio Cesar Aguirre del Instituto Técnico Industrial de Cartago Valle, àl LOCO prof de filosofia, a doña Amanda directora de Audiovisuales y doña Consuelo mi profesora de psicología, al profesor Areiza, y todos los educadores de la facultad de comunicación (1985) de la Universidad Tecnológica de Pereira Risaralda Y DEDICADO A LOS PERIODISTAS DE COLOMBIA

La tradición quiere en Colombia, que una minoría imponga las ideas como llaves para edificar el futuro. Así el presupuesto es decir el dinero de los contribuyentes, es usado por el poder para consolidar su hegemonía.

Mientras la delincuencia encuentra el camino libre para obrar, les servicios secretos del estado consagran el máximo al espionaje de sindicatos y grupos políticos
Si miramos la historia desde el 9 de abril de 19848 hasta el 18 de agosto de 1989, podemos concluir a una constante. Entre estas dos épocas, la libertad de opinión a sufrido y pagado un precio extravagante.

El insulto más absurdo e insoportable que se le pueda hacer a la patria, a sus símbolos a su honor y su futuro, puesto que esas dos palabras LEBERTAD Y ORDEN que figuran en el escudo de Colombia, son violadas, ultrajadas puesto que no solo el escudo es insultado.

Si tuviéramos tiempo de leer la constitución, el artículo primero o en fin el artículo tercero que dice

..." La soberanía reside exclusivamente en el pueblo, del cual emana el poder público. El pueblo la ejerce en forma directa o por medio de sus representantes, en los términos que la Constitución establece"...

Cuando tomo este tipo de textos, me da mucha tristeza, mi vista se nubla, de pena, de dolor, de vergüenza, puesto que todos esos textos, códigos, símbolos, de la patria, son sistemáticamente, maltratados, violados, por quienes deberían no solo respetarlos sino hacerlos respetar, es decir el gobierno, la policía nacional, el ejército y muy particularmente el DAS y el F2 en una lista no exhaustiva.

El rol del proteccionismo

 

El rol del proteccionismo

 

Sus efectos negativos de la mundialización financiera fueron exacerbados por una nueva ola de proteccionismo financiero.

 

Los estados que habrían inyectado fuertes dosis de capital en los bancos ; sea par intermediario de programas de recapitalización, sea a través de los bancos centrales que habrán otorgado liquides  bajo modalidades no acostumbradas con los riesgos que impactan las finanzas públicas, esperarían una aumentación del crédito en el territorio

 

Curiosamente ese tipo de proteccionismo no es pasible de ninguna sanción

(extraido del libro de Joseph E. Stiglitz  premio Noble de economie) 

EL ESTUDIO STIGLITZ  ISBN 978-2-918597-22-3

 

a Rodrigo Rivera Ministro de Defensa de Colombia

Una nación está compuesta de dirigentes et de trabajadores, desde luego en toda nación las clases sociales existen, y corresponden a mecanismos que durante la historia de la humanidad dan un volumen de gente que trabaja y una minoria que se aprovecha del fruto del trabajo de la majoria; que sont los politicos y las familias que los traen al mundo

 

Una lectura del DISCURSO DEL SERVILISMO VOLUNTARIO, de Etienne de la Boetie, nos permite de identificar hechos que son las premisas para el estado de seguridad de una nación

 

La dirección de una nación debe estar en manos de personas de una cultura relativamente digna de los cargos como el suyo: En tanto que abogado debe saber que : " passurus est populus multus revelare"

 

No olvide señor los hechos y la historia, el 9 de abril de 1948

 

Quien es acusado? quien es juzgado? por algunos crímenes de este tipo

 

Podemos hablar del 18 de agosto de 1989 señor ministro Rodrigo Rivera Salazar?

 

Podemos hablar de los genocidios perpetrados por los paramilitares en el suelo de Colombia?

 

Si podemos hablar señor podríamos hablar de cargos, de un proceso?

 

No creo que la democracia funcione correctamente sin juzgar los responsables

 

Podríamos preguntar usted que es liberal y abogado por los cargos de genocidio durante tantos años de violencia que CREA o que es responsable del nacimiento de las FARC

por Nestor Elias Ramirez Jimenez

c de c # 16 213 578 de Cartago (Valle)

évolution et future: les banques

Élucubrations

Dédie à des personnes de mon entourage : Régis Lemaitre, S. V., Wilfrid Swartvagher, Astrid Aguirre, Anthony Grégoire, Annie Chomon, Alain Boudon dans une liste non exhaustive.

 

évolution et future

 

Impossible de se abstraire de nous jours à la réalité du système financier mondiale, pour qui que ce soit où qu’il soit sur la surface de la terre.

 

Mais en pratique dans le quotidien, de chaque citoyen ; le béotien type vie à des années lumière de la réalité qui pourtant lui concerne de toutes manières.

 

L’indifférence véhémente des classes populaires

 

Causes e conséquences

 

Les causes

 

 

il est indispensable connaître la raison de l’indifférence du citoyen type, celui qui par sa place de consommateur lambda anime réellement le système tel qu’il fonctionne de nous jours.

 

Nulle doute qu’il y a un sentiment d’impuissance, qui peu prendre différentes variables depuis la simple tendance à éviter les urnes, jusqu’au discours « bouche à oreille » qui pestiféré au quotidien sur le comportement des leaders politiques.

 

Si des critiques sont observées, dans le discours du citoyen lambda ; sans doute qu’une partie de vérité, doit se trouver dans cette image perçu dans le bas de l’échelle sociale. Nier les faits ne favorisera pas l’analyse ou diagnostique.

 

Alors il y a des effets négatives du travail des législateurs sur le citoyen ?

 

La réponse inéluctable est OUI, mais alors allons voir la cause ? La cause prend sa source dans une fait logique, les élus évoluent dans la hiérarchie de gestion des affaires de la cité, évolution qu’éloigne ceux-ci en proportion aux avantages qui donne le revenu.

 

Lorsque les élus arrivaient aux échelons supérieur de réussite grâce au suffrage dans la plus part des cas, nous pouvons constater, un procès de désolidarisation de l’élu vis à vis des besoins basiques des citoyens.

 

Les causes de la désolidarisation des élus ?

 

Deux grandes raisons de la politique sont le lobby et le clientélisme, difficile de différencier bien que le premier se limite par définition étymologique à la présence de minorités, en générale au budget puissant pour faire pression sur le législateur dans le but d’obtenir des bénéfices de tout ordre, alors que le deuxième nous souligne des tactiques, qui restent aussi discutables voir pénalement risquées pour accroître sont influence, dans d’autres termes nous sommes aux portes de la définition de mafia

 

MAFIA : mot d’origine italien qui désigne un groupement qui cherche un but commun, mais dans l’ombre surtout dans le domaine juridique et financier.

 

La raison pour laquelle nous vivons des crises financières, et autres krach boursières, prend sa source dans la volonté des politiques à permettre que la nébuleuse financière soit moins taxé en termes de fiscalité que le système de production de valeur ajouté basique, c’est à dire de transformation de matières, là ou se crée la véritable plus-value.

 

Conséquences

 

La société a besoin d’un système bancaire et financier, cela ne se discute pas

 

Ce qu’est lamentable, est le comportement insolent et puérile des institutions du genre « hedge fund », la spéculation sur les devises, sur les matières premières, le montage financière frauduleux, l’évolution de leur activité se mesure dans le gain que les fonds d’investissement ont généré 1760 milliards de dollars en 2007 et 2000 milliards de dollars en 2009, une des explications de l’insolente santé financière des USA est due à que trois sur quatre fonds d’investissement sont appartiens soit aux USA soit à l’Angleterre.

 

Le manque de cloisonnement entre l’argent de dépôt et l’argent du jeux en bourse est une des causes de la perte de confiance des clients, sachant que la perte de confiance se traduit tôt ou tard par un krach.

lettre ouverte à Ivan Rioufol journaliste

lettre ouverte à Ivan Rioufol journaliste

Lettre ouverte à Ivan Rioufol

Par Nestor Elias Ramirez dit gramophone

dans le site du journal LE FIGARO, un journaliste a écrits:

 

La pression migratoire et la pression islamiste obligent la France à des actes immédiats et à des résultats. Ce lundi matin, sur Europe 1, Franco Frattini, ministre italien des affaires étrangères, a annoncé pour l’Europe "un tsunami humain (qui) arrive du sud" et qui pourrait faire venir des "centaines de milliers de personnes". Dans le même temps les Frères musulmans de Jordanie ont dénoncé l’interdiction en France du port de la burqa, interdiction qui devient effective à partir de ce jour, en y voyant "l’amorce d’une bataille dangereuse". Samedi, la manifestation des intégristes en soutien au voile intégral, annulée in extremis par la préfecture de police de Paris, n’a pas empêché l’islamiste britannique, Anjem Choudary, de demander sur l’internet aux musulmans de France de "s’assurer qu’aucun compromis ne soit cédé sur notre religion. Les femmes ne doivent jamais se plier aux lois humaines. La souveraineté n’appartient qu’à Allah seul (...) Nous devons montrer que nous n’accepterons jamais cette attaque de notre religion et nous devons œuvrer à établir la charia", etc. Malheureusement, bien peu de responsables musulmans ont pris soin de dénoncer cet appel au jihad, mis à part le courageux iman de Drancy, Hassan Chalgoumi, avec qui j’ai eu le plaisir de débattre ce matin sur LCI. Il vit sous protection policière, à cause des menaces des fondamentalistes.

"Un grand tsunami de musulmans arrive aujourd’hui sur l’Europe", prévient d’ailleurs Choudary, en usant du même terme que Frattini. Je veux bien admettre que ses menaces  restent celles d’une minorité d’illuminés, d’autant qu’elles sont en contradiction totale avec les aspirations à la liberté et à la démocratie qui mobilisent toujours, apparemment, les révolutions arabes. Mais l’Europe angélique et ouverte est néanmoins en train de dévoiler sa vulnérabilité, en se montrant incapable  de répondre à des vagues de migrants fuyant une Tunisie...en voie de démocratisation. La France se trouve confrontée tout à la fois à l’urgente nécessité de protéger sa souveraineté et donc ses frontières- ce que lui refuse l’espace Schengen conçu sur la libre circulation des personnes- et à l’obligation de ne pas reculer dans l’application effective d’une loi anti-burqa qui risque d’attiser les provocations islamistes. Bref, l’immigration et l’islam radical, que la bien-pensance refuse d’aborder, forcent la France à des réponses lisibles. La majorité, débarrassée des "égo-centristes" à la Jean-Louis Borloo, qui voudraient faire passer la capitulation pour un humanisme, sera-t-elle à la hauteur ?

Je participerai, mardi, à On refait le monde, sur RTL (19h15-20h)

NB : des intervenants se sont plaints, ce week-end, de la baisse de qualité des débats ces derniers jours. Je les approuve. Ce forum n’est pas une cour de récréation où l’on vient régler ses comptes et ses frustrations. J’ai taillé à la serpe, quand je l’ai pu, dans des commentaires inutilement publiés. Si les intéressés (une poignée) devaient persister, je n’hésiterais pas à les exclure. Ils peuvent déjà aller voir ailleurs.

dois-je utiliser la langue de bois?

la métaphore alors?

Si aujourd’hui je vie une situation économique difficile:

1° Elle est le fruit du hasard?

2 Elle est la conséquence de différents facteurs cumulés de mon passé?

Les journalistes, sont des professionnels, et comment les médecins adhérent à une charte!

Celle-ci prône avant tout l’impartialité, la déontologie comment pilier du professionnalisme.

Une question cette fois subsidiaire bien sur!

pendant presque un siècle l’occident aura demande visa ou passeport pour les énergies fossiles en provenance, d’ailleurs, chose curieuse, des mêmes pays aujourd’hui source de peur pour les européens?

bonjour à vous monsieur Ivan Rioufol, moi je ne suis pas journaliste, un simple citoyen, qui n’a jamais eu la chance d’accéder à l’école de Charlemagne, c’est à dire un béotien, un ignare, un illettrée, ou un gueux si le lecteur préfère...

LITOTE ET DOL LINGUISTIQUE

LITOTE ET DOL LINGUISTIQUE

Liberté, impartialité, litote et dol

(original publié dans LE FIGARO)

par gramophone (Nestor Elias Ramirez Jimenez) 

Liberté d’’expression

Pour des raisons d’’absence de servitude intellectuelle, ce forum et ses rubriques reste une tribune ou les citoyen exercent la souveraine démocratie, concept très cher au journal LE FIGARO

Calomnie stérile

Si les suiveurs et suiveuses, d’’un grand gouvernement, grand pour sa popularité, grand pour ses résultats en bénéfice de l’’intérêt général, sont confiants de la POPULARITÉ, il n’’aurait pas le moindre besoin de proférer des idioties, des signes évidents du traumatisme qui saura l’’explication du doute et du désarroi qui s’’approprie de qui crains, c’’est une minorité? Quel est le sentiment du PEUPLE?

Impartialité

Dans un but éthique, impartial; nous sommes dans l’’obligation d’’éviter les conjectures qui restent la propriété intellectuelle des vielles commères, cette fois l’’ensemble des idéologies humanistes, sont en train d’’admettre une vérité historique indéniable, où plus de la moitié des 42 millions d’’hypothétiques électeurs sont aussi d’’accord: l’’union de toutes les tendances (dites d’’idéologie SOCIALE & ÉCOLOGIQUE) dans une association semblable à celle obtenu par le SFIO et Vincent Auriol, ou plus tard le 21 mai 1981 par François Mitterrand,(même si beaucoup des détracteurs considèrent que c’’est un gouvernant à droite)

litote et dol

Bien que l’’astuce doit être admise de la part de toute personne aspirant au pouvoir, sous forme de prosélytisme, avec des méthodes divers, et où les échanges entre candidats sont véhémentes et par fois arrivaient à choquer. Certains mots, viennent trop souvent dans les discours; prenons l’’exemple du mot "POPULAIRE", un adjectif, qui appartient au peuple, qui le caractérise; qui est répandu parmi le peuple.

Je doute que des mots comme « populaire » , « juste », « égalitaire » puisent être utilisés par des leaders des politiques justement impopulaires, ou des leaders de minorités ayant pondu des lois à l’’encontre de l’’intérêt général.

Université d’’été du PS à la Rochelle

Les bases commencent à être plantés, ce n’’est qu’’un début dans la volonté, qui « représente » touts ceux et celles, pour qui l’’actuelle politique ne saurait pas satisfaisante. (Quoi? combien?)

S’’inquiéter saura avouer l’’échec de l’’actuelle politique!

Pour quoi s’’évertuer à critiquer, si ceux et celles sont minoritaires? pour quoi remuer des démons si la politique pratiqué par l’’actuel gouvernement est la meilleure?

S’’exprimer, est bien, s’’exprimer dans un cadre éthique et impartial est mieux! s’’éloigner des commérages est signe d’’un autre niveau intellectuel...!

http://forums.lefigaro.fr/user/non-frames/message.asp?forumid=132&messageid=1961212&threadid=1961212&parentid=3

 

 

Salaire des français actualisé à 2007

 

Sur la base des informations officielles disponibles dans le site de l’INSEE, je vous présente un tableau de la population française classé en fonction de leur revenu :

12,9 millions d’habitants auraient un salaire sur la base de 2007 de 10 012€

11,4 millions d’habitants auraient un salaire base année 2007 de 12 403€

10,0 millions d’habitants auraient un salaire base année 2007 de 14 363€

8,6 millions d’habitants auraient un salaire base année 2007 de 16 201€

7,4 millions d’habitants auraient un salaire base année 2007 de 18 165€

5,7 millions d’habitants auraient un salaire base année 2007 de 20 316€

4,3 millions d’habitants auraient un salaire base année 2007 de 22 969€

2,8 millions d’habitants auraient un salaire base année 2007 de 26 624€

 

1,4 millions d’habitants auraient un salaire base année 2007 de 33 896€ et plus

http://www.insee.fr/fr/themes/theme.asp?theme=4&sous_theme=0&type=2&nivgeo=0&numpage=2&nombre=20

 


PIRE QUE LA DEPRESSION DU 29

PIRE QUE LA DEPRESSION DU 29

"Pire que la Grande dépression de 1929"


Commentaires de Joseph Stiglitz dans la presse Allemande.

Présente par votre serviteur Nestor Elias Ramirez Jiménez 

Joigny, dimanche 15 février 2009
 
Stiglitz, prix Nobel accuse les banques, les autorités de surveillance et des États-Unis de défaillance  

Selon une estimation de l’économie Joseph Stiglitz est prix Nobel 2001 ; la crise des marchés financiers à certains égards est pire que la Grande dépression des les années 20 du siècle dernier. 

A-t-il déclaré dans une interview avec à des journalistes allemands. La principale responsabilité de la crise reviens avant tout aux banques, les autorités de contrôle et l’administration du président George W. Bush.

"Le plan US de sauvetage n’est pas bien conçu" 

«Je pense que la crise est pire. Le paquet de sauvetage élaboré par le Congrès des États-Unis, n’est pas bien conçu. 

Le problème principal est un trou dans le bilan des banques, le résultat de la passation de mauvais prêts. En fin de il ne s’agit pas seulement d’une crise de confiance, pas seulement d’un problème psychologique - il est arrivé quelque chose de très réel. Le trou dans le bilan doit être rempli - et le paquet de sauvetage ne remplit pas cette condition. 

Par preuve la chute continue des prix de l’immobilier, ainsi que l’expansion de difficultés économiques, depuis les États-Unis vers l’Europe, qui ne suffit pas pour rétablir la confiance. Le résultat probable est la poursuite d’aggravation de la crise. "


Nous avons particulièrement aux Etats-Unis une absence totale de compétence, de leadership à la tête. Le président refuse de faire le nécessaire. Coeur du problème est l’explosion du nombre élevé de saisies. Trois millions d’Américains ont déjà perdu leurs maisons et pour deux millions d’autres cela doit arriver. Toutefois, à partir de ça la faute est rejetée sur le président, capable en revanche, de faire quelque chose. Malgré le paquet de sauvetage peu efficaces. "

L’ampleur de la crise 

"C’est de toute évidence, la pire crise depuis la Grande dépression. À certains égards, elle est encore pire. Dans le cas de la Grande dépression, il y avait une perte de confiance vis-à-vis des banques. Cependant, les banques ont des produits sûrs et simples. Maintenant, nous avons un système économique mondial, avec un niveau élevé d’interdépendance et de produits complexes. "

"Je voudrais aussi dire que si la chute du mur de Berlin, signifiait la fin du communisme ces jours de septembre, signifie la fin du libéralisme, de la croyance que le marché se régule elle-même, sans intervention de l’Etat." 

"Les banques doivent payer" 

"D’abord, je voudrais souligner : Le monde financier doit payer pour ces considérables dommages qu’ils cause à la société. 

Dans l’économie de l’environnement, existe le principe du pollueur payeur : il faut veiller à l’élimination de celui qui est sale. Pour le système financier, cela signifie que les banques ont empoisonné l’économie mondiale, avec des prêts hypothécaires pollués. Maintenant, ils doivent payer pour le nettoyage. 

Vous avez, les banques ont fait des milliards de bénéfices ces dernières années mais : maintenant elles doivent payer la réparation de l’économie américaine et du monde. "

Les banques sont avant tout responsables de la crise. Sa mission est de collecter des fonds, à répartir les risques et à maîtriser. Pour ce faire, ils ont été récompensés. Plus de 30 pour cent de tous les bénéfices des entreprises aux États-Unis sont alimentés par le secteur financier. Mais elles n’ont pas remplis leur tâche. Elles ont réparti le capital, investi dans les maisons, sachant que les gens ne pouvaient pas payer. Vous avez le risque n’ont pas maîtrise c’est elles que l’ont d’abord mis en place. "

"Greenspan doit être tenu pour complicité" 

" La FED et leur ancien chef en tant que responsable du crédit, la dette mais aussi des autorités de contrôle, Alan Greenspan. Pourtant plus de réglementation a été demandé, quand il y eu une bulle il a été averti, il a refusé à partir de l’exposé des motifs, il a dit : Le percevons-nous ? Mais non ! croyant que les contribuables assumeraient des milliards de dollars le coût. " 

"La dette est la volonté du gouvernement du président Bush avec sa mentalité du libre marché. Cette position a été particulièrement encouragée par les républicains, mais quelque fois se trouvé aussi dans les deux parties. Et Wall Street a acheté cette politique, pour gagner encore plus de l’argent. Le tout au détriment des ouvriers américains, des propriétaires de maison, des contribuables et de l’économie mondiale.