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PIRE QUE LA DEPRESSION DU 29

PIRE QUE LA DEPRESSION DU 29

"Pire que la Grande dépression de 1929"


Commentaires de Joseph Stiglitz dans la presse Allemande.

Présente par votre serviteur Nestor Elias Ramirez Jiménez 

Joigny, dimanche 15 février 2009
 
Stiglitz, prix Nobel accuse les banques, les autorités de surveillance et des États-Unis de défaillance  

Selon une estimation de l’économie Joseph Stiglitz est prix Nobel 2001 ; la crise des marchés financiers à certains égards est pire que la Grande dépression des les années 20 du siècle dernier. 

A-t-il déclaré dans une interview avec à des journalistes allemands. La principale responsabilité de la crise reviens avant tout aux banques, les autorités de contrôle et l’administration du président George W. Bush.

"Le plan US de sauvetage n’est pas bien conçu" 

«Je pense que la crise est pire. Le paquet de sauvetage élaboré par le Congrès des États-Unis, n’est pas bien conçu. 

Le problème principal est un trou dans le bilan des banques, le résultat de la passation de mauvais prêts. En fin de il ne s’agit pas seulement d’une crise de confiance, pas seulement d’un problème psychologique - il est arrivé quelque chose de très réel. Le trou dans le bilan doit être rempli - et le paquet de sauvetage ne remplit pas cette condition. 

Par preuve la chute continue des prix de l’immobilier, ainsi que l’expansion de difficultés économiques, depuis les États-Unis vers l’Europe, qui ne suffit pas pour rétablir la confiance. Le résultat probable est la poursuite d’aggravation de la crise. "


Nous avons particulièrement aux Etats-Unis une absence totale de compétence, de leadership à la tête. Le président refuse de faire le nécessaire. Coeur du problème est l’explosion du nombre élevé de saisies. Trois millions d’Américains ont déjà perdu leurs maisons et pour deux millions d’autres cela doit arriver. Toutefois, à partir de ça la faute est rejetée sur le président, capable en revanche, de faire quelque chose. Malgré le paquet de sauvetage peu efficaces. "

L’ampleur de la crise 

"C’est de toute évidence, la pire crise depuis la Grande dépression. À certains égards, elle est encore pire. Dans le cas de la Grande dépression, il y avait une perte de confiance vis-à-vis des banques. Cependant, les banques ont des produits sûrs et simples. Maintenant, nous avons un système économique mondial, avec un niveau élevé d’interdépendance et de produits complexes. "

"Je voudrais aussi dire que si la chute du mur de Berlin, signifiait la fin du communisme ces jours de septembre, signifie la fin du libéralisme, de la croyance que le marché se régule elle-même, sans intervention de l’Etat." 

"Les banques doivent payer" 

"D’abord, je voudrais souligner : Le monde financier doit payer pour ces considérables dommages qu’ils cause à la société. 

Dans l’économie de l’environnement, existe le principe du pollueur payeur : il faut veiller à l’élimination de celui qui est sale. Pour le système financier, cela signifie que les banques ont empoisonné l’économie mondiale, avec des prêts hypothécaires pollués. Maintenant, ils doivent payer pour le nettoyage. 

Vous avez, les banques ont fait des milliards de bénéfices ces dernières années mais : maintenant elles doivent payer la réparation de l’économie américaine et du monde. "

Les banques sont avant tout responsables de la crise. Sa mission est de collecter des fonds, à répartir les risques et à maîtriser. Pour ce faire, ils ont été récompensés. Plus de 30 pour cent de tous les bénéfices des entreprises aux États-Unis sont alimentés par le secteur financier. Mais elles n’ont pas remplis leur tâche. Elles ont réparti le capital, investi dans les maisons, sachant que les gens ne pouvaient pas payer. Vous avez le risque n’ont pas maîtrise c’est elles que l’ont d’abord mis en place. "

"Greenspan doit être tenu pour complicité" 

" La FED et leur ancien chef en tant que responsable du crédit, la dette mais aussi des autorités de contrôle, Alan Greenspan. Pourtant plus de réglementation a été demandé, quand il y eu une bulle il a été averti, il a refusé à partir de l’exposé des motifs, il a dit : Le percevons-nous ? Mais non ! croyant que les contribuables assumeraient des milliards de dollars le coût. " 

"La dette est la volonté du gouvernement du président Bush avec sa mentalité du libre marché. Cette position a été particulièrement encouragée par les républicains, mais quelque fois se trouvé aussi dans les deux parties. Et Wall Street a acheté cette politique, pour gagner encore plus de l’argent. Le tout au détriment des ouvriers américains, des propriétaires de maison, des contribuables et de l’économie mondiale.

Chronique sur l'actualité économique

Chronique sur l’actualité économique


par Nestor Elias Ramirez Jimenez (gramophone)

Joigny France, mercredi 11 février 2009


Ci-joint un bref commentaire sur l’évolution de l’économie et en guise de support des arguments, une liste de liens à visiter dans le cas des doutes sur la véracité du contenu; ou simplement pour approfondir sur le sujet.

Vu le travail de la commission de finances à l’Assemblé National
Vu que les journaux spécialisés, traitent couramment ces informations. 

L’’ensemble des banques en France, a eu par la volonté et la prudence des pertes moins importantes dans la crise qui débute a peine. 

Cette crise débute a peine parce que les indicateurs a disposition de l’ensemble de la banque et la fiance en France et dans nombre d’autres pays du G20 permettent aux leaders de l’affirmer. 

L’’efforts des différents gouvernements, qui reste "louable" en termes économiques et sociales, a évité une crises financières "de liquidité" aux conséquences sans doute plus graves. 

Il y a unanimité, dans l’administration de la banque en France en accord avec l’idée centrale d’un économiste et Prix Nobel 2001, qu’affirme qu’aucune volonté ou acte vers la liquidité, ou l’investissement de la part des nations, pour important qu’il soit est en mesure de contrer la prochaine crise, qui doit délaisser les finances pour être cette fois si, crise économique. 

Je suis de l’avis de l’économiste en question, sans le nommer, (la censure stricte à bloque le premier message) mais les lecteurs avises connaissent ma sympathie et ma dévotion inconditionnelle à ses théories. Sans pour autant mettre de côté une liste de sages que j’’ai pour habitude lire depuis l’antiquité. 

Il se trouve que les Etats nations (les Républiques) ne disposent plus du pouvoir, car l’économie, par la concentration de la richesse aurait transféré ce pouvoir dans un nombre infime de mains. 

La loi physique, et mathématique veut que la consommation ait tendance à se tarir, dans des proportions exponentielles. Au point que le consommateur lambda, et particulièrement pour les pays riches, freine par son inertie sa partie dans l’équation "offre et demande". 

C’’est ridicule d’un côté se dire pour un libéralisme outrancier, qui assume pas les règles basiques du commerce : "libre échange" et "offre et demande", puis se scandaliser par la suite, de manière obtuse et bornée. Par l’absence de consommation, alors que dans un consensus les gouvernements et les lobbyistes font tout pour niveler le revenu par le bas. Cela étant possible du fait que le pouvoir a quitté depuis la révolution industrielle de manière accélérait la République pour atterrir en mais des individus au but exclusivement lucratif et usurier. 

Ces individus dépouillant au passage la valeur travaille de l’éthique et la morale qui son des éléments de cohésion et d’harmonie de la société génèrent du fait le gendre de situation que nous nous allons à souffrir.

 

liste de liens à visiter :

Sur la chaîne ARTE, interview de Joseph Stiglitz

http://www.arte.tv/fr/Entretien-avec---/1582542,CmC=2050810.html

Texte du Livre II de Platon "la république"

http://remacle.org/bloodwolf/philosophes/platon/rep2.htm

Vidéo de la Commission de Finances de l’Assemblée National

http://www.assemblee-nationale.fr/13/commissions/com-fin-bouton.asp

SACROSAINTE LOI DE L'OFFRE ET LA DEMANDE

SACROSAINTE LOI DE L'OFFRE ET LA DEMANDE

Une politique sur une seule jambe (l’offre et rien que l’offre)

par Nestor Elias Ramirez Jimenez

Joigny, dimanche 8 février 2009

dans la photo le directeur de FULMEN gentillement accompagné par des travailleurs pour aller à la manifs du 29 janvier  

C’est assez curieux les néolibéraux, en parlent d’une mondialisation, toujours encadres, ou barricades dans des notions basiques et archaïques du système, qui sont deux et seul deux :

La libre concurrence (qui n’est jamais garantie)

Et la sacrosainte loi de "l’offre et la demande"



Le gouvernement à brulé à vraie dire tous ces cartouches! Au point qu’il ne lui reste pas de quoi tirer une mouche! (l’argent pour TATI TEPA, les 26 milliards donc 75 % sort à vraie dire des collectivités, les 40 milliards de "crédit" aux banques, etc.,)

Retournons à nous moutons, oui il y deux termes dans la phrase "l’offre" & "demande", nous aurions perdu les lunettes, à quoi bon l’offre, encore que pour des grandes sociétés de BTP. Les ouvriers des chantiers, en allant, chercher à manger le midi vont trouver "FERMEE", en allant au bistrot "FERMEE" en allant chercher des matériaux "FERMEE" 

Plagiat de la vie et de la mort

Plagiat de la vie et de la mort

Parodie ou plagiat de la vie et la mort

Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny, dimanche 8 février 2009

(la photo est emprenté au site : http://marie4liberte.centerblog.net/rub-La-faim-dans-le-monde.html)

Dialogue, (première partie)

Mercure : Qui est tu ?

Gramophone : Moi !

Mercure : Qui, moi ?

Gramophone : Moi, un illettré, un béotien

Mercure : Et vous savez parler ?

Gramophone : Non je m’entraîne !

Mercure : Insensé ! Vous osez me parler !

Gramophone : Je me limite à vous répondre !

Mercure : Hardiesse excessive, cherchez-vous un châtiment ?

Gramophone : J’aimerais connaître le délit qui me veut une telle sanction ?

Mercure : Vous êtes riche ou misérable ?

Gramophone : En tant qu’humain, avec liberté de penser ; Elle est où la relation entre l’argent et la sanction ?

Mercure : Le fait d’être riche et de surcroît né en France, me donne pleins pouvoirs, sur la vie et sur la mort des misérables ; et à juger par vôtre accent, des immigrés aussi.

Gramophone : Fort claire vôtre position, mais dépourvue de raison !

Mercure : Insulte grave à ma condition. Cela mérite la pendaison.

Gramophone : Je réponds à des questions. Dois-je perdre ma vie sans jugement ?

Mercure : C’est moi la justice, parce que la richesse me donne le pouvoir !

Gramophone : Un pouvoir qui s’impose, n’est pas de la démocratie et moins encor de la justice !


 Des millions de personnes sont tuées, soit par le délit de penser et oser s’exprimer, soit par le délit d’être pauvres ! Car des enfants meurent non pas par pendaison ou la guillotine qui resterait une douce mort, à côté de la mort lente par la faim, ou la maladie, mort en milieu d’horribles souffrances, moi dans mon petit coin, ça ne me regarde pas ! Ce n’est pas moi qui tué ! Ce n’est pas vraiment mon problème; même si les lois parlent des délit du genre "non assistance à personne en danger"; même si la raison dit "que celui qui ne dit rien, autorise" saures-je complice ?

Sur l'intervention de Jean-Claude MAILLY secrétaire national du syndicat CGT-FO

Dans la Chaîne Parlementaire LCPAN

émission présenté par Miryam Encaoua

Propos présentés ici par votre serviteur : Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ ou Gramophone

Il n'y aura pas de nouvel appel à la grève cette semaine ?

Cela dépend de la position du président de la république

Fillon dit qu'il ne veut pas changer sa politique. Les syndicats "souhaitent" que les déclarations de jeudi soient différentes.

Les revendications sont :

Défense de l'emploi
Valorisation du pouvoir d'achat
Maintien du service public

Les syndicats veulent être entendus et surtout rencontrer le président des français au plus vite, au-delà de l'urgence qu'il montre comme leurs des veux. 

Si les réponses attendues par les classes populaires ne sont apportées dans l'immédiat par les responsables politiques et patronaux, le rapport de force doit se traduire par des nouvelles manifestations.

Donc le discours social de jeudi soir reste, le fondement hypothétique de la suite à donner où je dirais même de la tentative des leaders nationaux à canaliser la grogne qui se développe dans les classes populaires.

Les leaders syndicaux auraient l'intention plutôt de se réunir à niveau mondial pour constituer un programme mondial, face à la mondialisation de la rentabilité de capital. Les approches nationaux Gage qu'il n'y ait de manipulation, ni d'un côté, ni de l'autre. Car de toutes manières, nous sommes face à une situation mondiale, est les efforts, d'une nation ainsi celle-ci soit LA France, restent à effet limité et dans le temps et dans la réduction de l'effet sur la société.

Sans volonté opportuniste, sans sectarisme, sans inclinaisons de clivages politiques, l'actualité mondiale ayant des conditions semblables à l'époque des années 1929 à 1933, Reste une erreur majeure que de vouloir des solutions par pays, car le mal est de taille mondiale et même à la taille de l'Europe restent des coups d'épée dans l'eau.

Nous sommes pour l'occasion face à trois variables du problème, les travailleurs, le pouvoir public, et le capital. Le capital reste (et tout le monde le sais) très compact, dans sa volonté, dans sa gestion, dans ses intérêts, le pouvoir public reste plutôt dans la voie de prosélytisme et les travailleurs représentés par des individus qui auraient tendance à adopter le chemin du pouvoir public. En attendant le mal évolue par manque de réelles mesures ou de langue de bois. Les travailleurs ont autant le droit que le capital de s'organiser et plus sérieusement s'il vous plaît.

mardi 3 février 2009 sur rubrique syndicat du forum LE FIGARO

Que dit monsieur Jean-Claude Mailly secrétaire national de la CGT-FO

Exonérations de cotisations patronales

Actuellement 31 à 32 milliards d'euros par an est le montant des exonérations aux entreprises, alors conditionner ces exonérations à l'existence d'accords sur le salaire.

Exemples :

Promouvoir les négociations de salaire dans les branches

Relancer la négociation de salaire dans la fonction publique

Faire une vraie prime transport

Juste dans l'aspect emploi.

Sur le salaire, il y a le service public; dans trois grands thèmes, si le président de la république acète de discuter, ou envoie bouler tout le monde.

J'ai cru comprendre ce matin que le président de la république avait fustigé les syndicats qu'étaient partisans d'une relance par la consommation; s'il confirme ça jeudi soir ça va poser des problèmes, il faut que le président de la république apprenne aussi à changer son logiciel.

Augmentation du salaire

Il est demandé un coup de pouce aux SIMIG, le montant étant à discuter, les syndicats ne fixent pas un chiffre exact, pour permettre la concertation. 

Conditionner être mise en obstacle parce, le SIMIG ne coûte rien à l'Etat.
 
Le coût de ces mesures; n'est pas une priorité pour les syndicats, les chiffres, ne prouvent pas Relance par l'investissement non plus !

Quand on sort de la trésorerie de l'Etat 1 million d'euros pour prêter à DEXIA, quant l'Etat sort deux fois 10.5 milliards pour prêter aux banques, (40 milliards dans le paquet de 360 milliards) l'Etat balance des chiffres et accepte d'augmenter le déficit.

Le problème pour les salariés c'est que quand sa va bien "on peu pas" et quand ça va mal "on peu pas" Y compris sur le raisonnement économique, personne ne sais ce qui va donner la crise, alors comme peut-t-on dire que la relance par la consommation ne peu pas marcher. 

D'abord il faut se mettre d'accord sur l'annonce des 26 milliards, l'anticipation des travaux, c'est très bien, mais dans toute mesure du genre structurelle il y a un délai de latence. Beaucoup de personnes reconnaissent que ce plan n'est pas celui qui va permettre de sortir des difficultés.

Quand on veut avancer il faut deux jambes, une jambe sur l'offre et l'investissement, c'est d'accord; mais il faut aussi une jambe sur la consommation, d'autres pays le font, tous les économistes ne dissent pas que la relance par la consommation, favorise fondamentalement l'importation. Attention parce que quand il est fait une relance par l'investissement, les biens d'équipement viennent d'où ? Ça ne vienne pas de la France. On veut une économie ouverte, et après on nous dit acheter français. Il faut être logique, si les gens reçoivent une augmentation, et les plus modestes en particulière, ainsi que les classes moyennes, elles vont consommer plus, une part saurait en bénéfice de l'importation.

Il ne faut pas interdire aux travailleurs d'acheter les produits d'importation et de toutes manières ce n'est pas eux qui les importent, il faut être logique.

LE CHIEN QUI COURRAIT DERRIERE SA QUEUE

Le chien qui courrait derrière sa queue 

par Nestor Elias Ramirez Jimenez dit GRAMOPHONE

(joigny vendredi 30 janvier 2009)

Mes plus sincères excuses pour la qualité du texte car le français n’est pas ma langue maternelle.

Dans un exemple criant de vérité; nous pouvons parler de consommation.

L’économie mondiale est comme un très long train. (Dans un but pédagogique à fin d’être compris par les enfants). Le nombre de wagons de première classe, étant de deux et le nombre de wagons de deuxième classe de huit.

La première classe se trouve toujours à 3/4 vide, la deuxième, est à ¾ pleine. Le tarif en première classe est le double voir plus par rapport à la deuxième (normale il y a bar, restaurant et même des toilettes). Malgré quoi le train gagne plus d’argent avec les billets de deuxième classe.

Notre train circule au quotidien entre les pyramides de Gizeh et le temple d’Artémis à Éphèse; il passe par le phare d’Alexandrie puis en route il est possible d’admirer : le Mausolée d’Halicarnasse, les jardins suspendus de Babylone et le colosse de Rhodes.

Avec les années, le train est de moins en moins pris, par les passager de première classe, au point qu’un jour la société d’exploitation, craignant devoir affronter une crise; (étant donné que les nantis et intellectuels, ne s’intéressent plus à la magnificence du voyage).

- "ce n’est pas les ignares, gueux et béotiens qui vont continuer à l’emprunter" - 

Dit un savant et prix Nobel d’économie de l’époque, membre du conseil d’administration de la société.

En quelques années, les nantis d’antan fidèles au train; commencent à faire usage de leurs économies pour voyager dans leur calèches (très modernes, sans point de chevaux, mais de puissantes et bruyantes machines, dotes d’un confort jamais atteint dans les autres pays du monde). 

Les bourgeois en question, décident de racheter, chacun une partie de la propriété du train. 

Les années passent, nombre de commerçants utilisateurs quotidiens du train, pour d’autres besoins que pour le tourisme et la contemplation; (pour aller d’une ville à l’autre dans leur travail de chaque jour) ont emboîté le pas aux riches, voyant les dividendes, "l’excellente rentabilité".

Cela a été le coup de grâce à la fréquentation du train quotidien entre pyramides de Gizeh et le temple d’Artémis à Éphèse, à la fin de la période; aveuglés par l’ambition, même les gueux étaient devenus des notables actionnaires du somptueux train "Gizeh Éphèse".

Alors des huit wagons devenus de trop en 1er classe, ne restaient plus que deux. Même à quatre wagons le train "Gizeh Éphèse" n’avait plus que la 1/2 de ses passagers, puis 1/4 …

Aujourd’hui, quelque part, dans un cimentier des trains il reste, à peine des vestiges "d’un si splendide train"; des huit cents personnes qui travaillant (avec les emplois indirectes) pour son prestige, ont devenu pire que des gueux. Les nantis eux, ont flairé le coup à d’avant et le roi les aurait même aidé financièrement en guise de dédommagement et vivent dans un pays lointain, dans des palais dignes des rois.

Les anciens usagers de deuxième classe, ont perdu leurs économies, et doivent reprendre bientôt des calèches et des chariots avec des vrais chevaux… 

Voilà le texte d’un ignare d’un illettré, c’est bien le cas, car je n’ai pas eu la chance de fréquenter l’école de Charlemagne.

La réalité des fonds de pension des USA

La réalité des fonds de pension des USA

(Français)La réalité des fonds de pension des USA

(castellano)La realidad de los fondos de pension en los EE.UU.

Texto en frances y castellano

Texte en Français et espagnol 

par Nestor Elias Ramirez Jimenez

joigny samedi 24 janvier 2009

Certains indicateurs et la réalité économique

Certains marchands de la finance, en France et dans le monde attribuent aux fonds de pension des USA, des qualités hallucinantes.

Toujours est-t-il qu’ils subsistent des idées reçues, dans le milieu ouvrier, qui attribuent la volonté aux fonds de pension américains de rafler sur l’économie mondiale des énormes sommes de capital, dans de techniques comme le commerce d’achat et vente des entreprises.

Mon opinion personnelle, penche pour une tactique de détournement du capital qu’utiliseraient les fonds de pension comme simple boite à lettres.

Un graphique de l’évolution du mouvement de capitaux pour une période entre les quatrièmes trimestres de 2003 et 2008 vous montre par l’instabilité et l’écart des irrégularités qui supporteraient mon idée; d’au moins l’hypothèse d’une gestion très risque de ces fonds.

La realidad de los fondos de pension en los EE.UU.

Algunos indicadores y la realidad económica

Algunos comerciantes de las finanzas en Francia y en el mundo atribuye a los fondos de pensiones de los EE.UU., alucinante cualidades.

Es así, que existen ideas en la clase obrera, que asignarán a los fondos de pensiones de EE.UU.la capacidad de arrancar en la economía mundial grandes cantidades de capital par la tactica o tecnología, de comercio de compra-venta de las empresas.

Mi opinión personal, se inclina hacia una táctica a favor de la desviación o diversion (fiscalidad evacion de impuestos) de capital que usaría los fondos de pensione como un simple buzón de correo.

Un gráfico de la evolución de los movimientos de capitales en el período comprendido entre el cuarto trimestre de 2003 y 2008 pone de manifiesto la inestabilidad y la brecha de irregularidades que soportan mi idea, o sino, por lo menos la posibilidad de gestion a alto riesgo de estos fondos.

texto para comentar y compartir (sus comentarios me motivaran y me permitiran de comprender mejor el mundo) dedicado con cariño a mi profesor de philosofia del ITI, don Julio Cesar Aguirre, y mis profesores de epistemologia y sociologia de la Universidad Tecnologica de Pereira.

la vérité si je mens

la vérité si je mens

une caricature de la réalité française