Plagiat de la vie et de la mort
								
				
				Parodie ou plagiat de la vie et la mort
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny, dimanche 8 février 2009
(la photo est emprenté au site : http://marie4liberte.centerblog.net/rub-La-faim-dans-le-monde.html)
Dialogue, (première partie)
Mercure :	Qui est tu ?
Gramophone :	Moi !
Mercure :	Qui, moi ?
Gramophone :	Moi, un illettré, un béotien
Mercure :	Et vous savez parler ?
Gramophone :	Non je m’entraîne !
Mercure :	Insensé ! Vous osez me parler !
Gramophone :	Je me limite à vous répondre !
Mercure :	Hardiesse excessive, cherchez-vous un châtiment ?
Gramophone :	J’aimerais connaître le délit qui me veut une telle sanction ?
Mercure :	Vous êtes riche ou misérable ?
Gramophone :	En tant qu’humain, avec liberté de penser ; Elle est où la relation entre l’argent et la sanction ?
Mercure :	Le fait d’être riche et de surcroît né en France, me donne pleins pouvoirs, sur la vie et sur la mort des misérables ; et à juger par vôtre accent, des immigrés aussi.
Gramophone :	Fort claire vôtre position, mais dépourvue de raison !
Mercure :	Insulte grave à ma condition. Cela mérite la pendaison.
Gramophone :	Je réponds à des questions. Dois-je perdre ma vie sans jugement ?
Mercure :	C’est moi la justice, parce que la richesse me donne le pouvoir !
Gramophone :	Un pouvoir qui s’impose, n’est pas de la démocratie et moins encor de la justice !
 Des millions de personnes sont tuées, soit par le délit de penser et oser s’exprimer, soit par le délit d’être pauvres ! Car des enfants meurent non pas par pendaison ou la guillotine qui resterait une douce mort, à côté de la mort lente par la faim, ou la maladie, mort en milieu d’horribles souffrances, moi dans mon petit coin, ça ne me regarde pas ! Ce n’est pas moi qui tué ! Ce n’est pas vraiment mon problème; même si les lois parlent des délit du genre "non assistance à personne en danger"; même si la raison dit "que celui qui ne dit rien, autorise" saures-je complice ?
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