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gramophone

Opposition idéologique

Opposition idéologique

 

Ces derniers jours, j’admets avoir passé le plus claire de mon temps dans des rubriques d’un forum du journal LE FIGARO, mais aussi j’ai pris le temps de voir certains moments clé dans la vie de la république.

 

Je fais allusion à la diffusion en direct de l’évolution de la démocratie au sein de l’hémicycle.

J’entendu, plusieurs orateurs s’exprimer sur divers sujets : la retraite, le bouclier fiscale ; j’entendu quelque fois les émissions sur les commissions diverses.

Je tiens a féliciter plusieurs teneurs de la gauche qu’ont « mouillé leur chemise » en défense des intérêts des classes populaires.

Pour quoi je m’exprime ainsi ?

Allons ! Humain, je suis humain, démocratie ! Je suis pour la démocratie, mais attention très attaché a sa définition étymologique, impartialité, dans une vu humaine donc altruiste, démocratique donc je me compte parmi une majorité du point de vue du revenu !

Je suis près à reconnaître, qu’il y a des gens dans ma situation, qui par ignorance, par iniquité, par cupidité, s’identifient avec la bourgeoisie.

 

Attention !  Nous sommes nécessairement différents, entre les classes sociales, il y a plusieurs classes sociales, qui se différencient par leur revenu, mais je vais expliquer cela par une parabole

 

« Dans une belle mansion, aux volets fermés, dans un grand jardin, se trouvaient plusieurs chiens, ces chiens protégeaient l’enceinte au prix de leur vie  »

Les vrais bourgeois, en fait ne se soucient jamais du sale boulot, mais en même temps les chiens, sont loin d’y connaître la réalité économique du monde parce qu’eux, les chiens, n’ont pas de conscience.

 

défaut d'économie politique

Un défaut majeur, Economie politique

 

Joigny lundi 8 mars 2010

Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ

 

Les grandes analystes financières, s’évertuent à expliquer de mille et une façons, les causes de la crise financière.

 

La liquidité financière, d’après les érudites, arrive à faire défaut, mettant en péril le système entier.

 

Nous oublions trop vite une idée fondamentale écrite en 1889 par John Stuart Mill dans "système de logique" Là, Monsieur Mill affirme que l’être humain cherche la manière la plus facile de faire fortune.

 

Ors la politique global, incite par la fiscalité à tout; sauf à gagner de l’argent par la transformation des matières, par la production ou création de la valeur ajouté.

 

Si nous regardons la fiscalité dans la plus part des pays dit développés la fiscalité reste un élément clé de l’attractivité territoriale et de la compétitivité. Cette fiscalité fonctionne avec un siècle de retard sur le système économique mondial.

 

C’est la faute majeur, du système capitaliste, naturellement facilité ou favorisée de manière à permettre de faire fortune rapidement comme l’explique monsieur John Stuart Mill déjà en 1889.

 

Ce n’est pas le travail de création de valeur ajouté qui permet de s’enrichir, mais la spéculation avec le fruit du travail. Ainsi 90% de revenu dans le monde est issu des marches financières alors que 10% est le fruit du travail de la transformation de la matière. Cela ne choque personne?

 

 

Perdoname, es que no he tenido tiempo

LA FRASE CLAVE

CUANDO ALGUIEN NOS INCOMODA CON UNA INVITACIÓN O SUGERENCIA, ES LA RESPUESTA TÍPICA.

SABIENDO QUE GRACIAS AL INTERNET LA PERSONA CONOSE NUESTRO EMPLEO DEL TIEMPO

 



Je suis naïf quoi...!

Je suis naïf quoi...!

 

Titre:  "Je suis naïf quoi"

Dans la photo intervention du camarade représentant  syndicale des métaux  dans l’Yonne lors d’un congre du 19 décembre 2009 à Apoigny

Auteur: Nestor Elias Ramirez Jimenez (gramophone)

Lien original: http://www.votrejournal.net/Oui,-je-sais,-je-suis-un-naif_a486.html

Au quotidien nous participons chacun de notre façon à une société, de caractéristiques changeantes, en évolution permanente. Une société dans la quelle les normes ne peuvent donc être adaptées à la relation entre les êtres...


Même si les plus connaisseurs dans le domaine de l’économie le voulaient, ils ne pourraient avancer des prévisions sûres sur le comportement de l’économie mondiale.


Il existe plus d’une douzaine d’organismes de taille mondiale, qui en permanence font des études ou prévisions sur le comportement de l’économie à plus ou moins long terme. Cela dans un strict respect des règles de la société moderne, règles qui s’éloignent de manière vertigineuse d’un équilibre biologique et social fondamental.


L’univers moderne dépend de manière progressive et irréversible d’une nouvelle sorte de norme, qui cherche en particulier la rentabilité : l’objectif est rentabilité à tout prix.


 
Il est nécessaire que l’intelligence, "la classe intellectuelle" de tous les pays et en particulier française - adopte une position pratique et surtout objective, digne de la tradition d’un pays qui a vu naître en 1596 Descartes, en 1606 Corneille, en 1621 La Fontaine, en 1622 Molière, en 1623 Pascal, pour ne citer qu’eux.


Au nom de ces messieurs pour qui j’ai beaucoup d’admiration et surtout de respect, je me dis que nos hommes de lettres, nos journalistes, doivent honorer ce que représente la France devant le monde, en regardant en détail, lors de réunions d’étude, les conséquences, les risques, et les alternatives aux politiques qui ne le sont plus... Puisque par étymologie une politique est une décision devant apporter des bénéfices à une nation ou un peuple qui généralement en a besoin, plus qu’à deux ou trois individus qui - eux - ne vivent pas dans le besoin.


Il s’agit pas de prosélytisme, ni de politique politicienne. Il y va de l’avenir de l’humanité, puisque, par notre indifférence, nous ne confions qu’aux "scientifiques" les règles de la rentabilité, faisant croître un abîme majeur entre les peuples. Abîme qui génère distensions, inconformisme, un gibier frais offert aux intégristes, sectes, et autres groupes extrémistes. Enfin la spirale dans laquelle la misère et l’insécurité ne font qu’aviver la flemme, tandis qu’une minorité semble tout ignorer, avec en prime une destruction démesurée de l’environnement.


Je suis un romantique croyant encore qu’il existe des êtres humains, c’est-à-dire sociables, heureux d’aider, de participer, pour pouvoir laisser un monde meilleur aux nouvelles générations. Je suis naïf, quoi !

un poème affreux dédié Sandrine

Voilà un poème affreux

D'un vieux, un être au crépuscule

Voilà un poème amoureux

D'un vieux, être pour toi minuscule

 

Voilà un poème fiévreux

D'un ignare qui cherche la formule

Voilà un poème belliqueux

Pour toi je vais faire le funambule

 

Voici, que sans être Richelieu

Pour toi sans doute, je l'air ridicule

Voici encore mes vers piteux

Pour toi sans doute c'est tout nul

 

Voici, un texte pour toi mystérieux

Où ma passion comme un fleuve s'écoule

Voilà que j'ai l'air ainsi présomptueux

Sous ton regard qui très vite me refoule

 

Je rêve d'avoir un jour ton oui officieux

Sans oublier ta santé, ton épaule

L'oublier saurait plus que scandaleux

Alors ici la moindre virgule

Aurait un air plus que ténébreux

JOIGNY passe à gauche après 31

JOIGNY passe à gauche après 31

Le cadre:

D’abord en termes financiers, l’avenir des collectivités, n’est pas rose, car le gouvernement central, se vente de donner un sévère coup à la relance économique. sur une seule jambe, d’ailleurs dans un seul sens qui reste LES TRAVAUX D’INFRASTRUCTURE

Concrètement dans le BTP. Sans oublier au passage BOUYGUES qui en 2008, réalise un chiffre d’affaires de 9,5 milliards d’euros (dont 39 % à l’international) avec 53 700 salariés ou le groupe VINCI qu’en 2008 pressente un résultat net part du groupe de 1591 millions d’euros, je n’oublie pas les artisans, mais les tout petits artisans n’assument pas des grandes chantiers.


Donc en fin de compte le gouvernement ne débourse pas grand chose, puisque c’est les régions, les communes, donc le contribuable, qui par l’augmentation des impôts doit supporter la crise, permettant aux grandes entreprises du BTP d’engrener des bénéfices.


Au passage j’entends les ignares et autres politiques du troitoire, affirmer que la politique SARKOZYENNE reste formidable... Oui elle est formidable mais pour certaines personnes (une élite minoritaire), car même dans le BTP, les salaires étant très bas, les techniques très développes, en fin de compte c’est les grandes entreprises qui récoltent sans difficulté les fruits.


Il manque que le gouvernement décrété par voie réglementaire que 100% des chômeurs doivent aller travailler dans le BTP, et cela quelques soit leur métier d’origine. C’est les commentaires que j’écoute dans certains milieux proches de l’idéologie gouvernementale.


Dans le plus insultant irrespect de l’ensemble de métiers, et de savoirs faire du peuple. qui dans le reste de branches, se trouve pour faute du capitalisme bourgeois débridé, au chômage, avec les conséquences que tout le monde connais dans le rang du tabou, l’alcoolisme, le divorce et le suicide.


Difficile pour nous sociologues de pacotille de donner une étiquette aux causes de la paupérisation intellectuelle, physique et morale des classes populaires. Le peuple jovien a beaucoup d’espoir dans cette nouvelle administration, les pieds sur terre, car le budget est difficile à élaborer.

L’avenir:

Avec un peu de bon sens, il est le moment de batir une stratégie, repectueuse de la culture altruiste, de la notion de partage, du respet de l’environnement, pour propulser notre ville de JOIGNY  dans une voie de progrès; mais un progrès partagé, et qui soit profitable.


A nous de trouver, des pistes, pour faire apparaitre la ville de JOIGNY à l’échelle national grâce à la culture, l’art; des évenements pouvans être perenisés, et pour quoi pas cycliques. Dans un message privée sur YOUTUBE je me suis permis de donner mon amble avis sur une option culturelle, àdrèssé à monsieur le maire BERNARD MORAINE.

 

…"Le vrai" consiste simplement dans ce qui est avantageux pour notre pensée, de même que "le juste" consiste simplement dans ce qui est avantageux pour notre conduite"…

William James

Pragmatisme

Après avoir écouté l’intervention de clôture de la réunion du G20, faite par le président des USA; vers 19 heures le jeudi 2 avril 2009. Le mot pragmatisme me semble ici juste pour qualifier son discours.

Cela implique, une lourde charge, du point de vu historique et sémantique du terme. Cela implique particulièrement aussi la négligence obligé de nombre de facteurs humains et scientifiques.

Sans être érudit, et moins encore pédant, entrons dans le vif du sujet par un exemple.

Est-ce qu’un paysan du Larzac à le droit de vivre du fruit de son travail?

Bien sur que oui! Et cela, qu’il fabrique du Bethmale, du Moulis, du Cabécou depuis les monts de Lacaune en passant par Saint Georges et jusqu’à la montagne noire et même ailleurs dans les Haut-Pyrénées et l’Aveyron, un paysan à le droit de vivre du fruit de son travail.

Est-ce qu’un chauffeur routier à les mêmes droits que le paysan, de vivre de son travail?

Mais quelle question plus idiote! Zut alors!

Est-ce qu’il y a sur la terre des paysans, des chauffeurs ailleurs qu’en France?

Oui en effet!

S’il est vraie, ils sont des êtres humains aussi, et tous les humains ont les mêmes droits?

Je dois admettre qu’un paysan d’un pays riches ait des avantages par rapport à un travailleur d’un pays pauvre?

De toute évidence, il y a des différences, bien que le GATT, soit la porte de la mondialisation, les pays sont différents; et de cette différence surgie une foule de conséquences.

Les êtres humains ne son pas égaux, dans la pratique que dans l’instenté de leur naissance.

Pour revenir à la multiplication par trois des fonds du FMI; la réalité et le pragmatisme nous enseigne que les riches des pays pauvres aurons plus d’argent pour pavoiser et les pauvres aurons plus de misère pour souligner l’abîme qui ne faire que se creuser d’avantage.

Bien entendu qu’il y des personnes qui dirons merci au G20, mais j’ai la certitude que d’une très excellente intention est accrue une très vielle injustice.

Les mots du président Obame, avaient avant tout de la sincérité, beaucoup de volonté; ce sont des mots d’un homme humain, très différent de ces prédécesseurs.

Je dirais même qu’il à plus que du Charisme, la qualité d’employer les mots justes.

Pour la première fois de l’histoire et de ma conception des USA, je crois qu’il est possible que le monde change, cela reste qu’une possibilité que l’ineptie, une sorte de faiblesse physique; de réflexion, de caractère et surtout la tendance "humaine" sous forme d’ambition démesurée, risquaient d’empêcher.

Las palabras del Presidente había Obame, reflejaron sobre todo la sinceridad, las palabras de un hombre altruista muy diferente de sus predecesores.

Yo diría que tiene más que de carisma, la calidad de las palabras justas (lo que la gente quiere escuchar). 

Por primera vez en la historia y mi visión de los EE.UU., creo que es posible que el mundo cambie, sin embargo solo es "una posibilidad" que el absurdo, (una especie de debilidad física, en la reflexión, en el carácter y la especialmente la tendencia "humana" hacia la ambición), podrá impedir.

Le capitalisme en convalescence

Le capitalisme en convalescence "conclusion du G20"

par Nestor Elias Ramirez

vendredi 3 avril 2009

Après l’intervention du président des USA hier soir (02/04/09) est-ce qu’il est juste de considérer deux idéologies différentes, je fais allusion à la différence jusqu’aujourd’hui de l’idéologie capitaliste et l’idéologie socialiste.

Le président du pays "symbole du Capitalisme", c’est montré réaliste, car aucune politique local n’est possible sans admettre l’influence dans cette sorte d’interaction, où le libéralisme prôné par le passé rendrait éventuellement un service aux peuples. 

Juste cette vision nous induit à penser que "le système change"" d’un système de concentration de richesse vers un système de distribution de moyens.

Est-ce juste des jolis mots ? Est-ce juste de la poudre aux yeux ? Est-ce de l’illusion ? 

Le sommet du G20, aurait juste été un travail de diagnostique ou prescription pour un système en état de "coma profond" afin de le mettre en convalescence et le voir se réveiller avec plus d’indifférence et plus d’ambition spéculative qu’avant?

Vu l’idée de John Stuart Mille du point de vue de la psychologie, le comportement humain reste la clé.

Jusqu’à preuve du contraire, l’ambition des iniques l’importe sur la volonté naïve ou consentante des politiques.

Le capitalisme doit renaitre des ceindrais, grâce aux efforts politiques et surtout à la socialisation des pertes où l’ensemble des peuples payent pour la bêtise d’une poignée de fous.