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Littérature

un poème affreux dédié Sandrine

Voilà un poème affreux

D'un vieux, un être au crépuscule

Voilà un poème amoureux

D'un vieux, être pour toi minuscule

 

Voilà un poème fiévreux

D'un ignare qui cherche la formule

Voilà un poème belliqueux

Pour toi je vais faire le funambule

 

Voici, que sans être Richelieu

Pour toi sans doute, je l'air ridicule

Voici encore mes vers piteux

Pour toi sans doute c'est tout nul

 

Voici, un texte pour toi mystérieux

Où ma passion comme un fleuve s'écoule

Voilà que j'ai l'air ainsi présomptueux

Sous ton regard qui très vite me refoule

 

Je rêve d'avoir un jour ton oui officieux

Sans oublier ta santé, ton épaule

L'oublier saurait plus que scandaleux

Alors ici la moindre virgule

Aurait un air plus que ténébreux

Hommage à monsieur GILLES CHENAILLE

Hommage à monsieur GILLES CHENAILLE

Vous avez envie de jouer avec les mots

comme avez-vous envie d'oublier les maux

vous avez envie de croire que tout et faux

Oublions-nous de l'enclume et le marteau 

Sachant que pour la concurrence il faut au moins être deux

A la course au libéralisme un seul devienne Dieu

Ces vers sont crées par un idiot

Qu'insiste et vous dit méfié-vous 

Je ne suis pas au premier coup d'essai déjà publié dans la rue

Non plus au premier coup d'épais, j'ai visité l'hôtel Dieu

Mais je redoute le jugement sévère qui reste celui-là de la rue

Alors mon discours devienne silence, un simple adieu

Larmes du cœur, ignorance de l'âme

Larmes du cœur, ignorance de l'âme

 

Larmes du cœur, ignorance de l'âme

Clinc d'œil à ma petite sœur Nubia Rocio dans la photo.

Pour les religions il a été jamais question

de sanctionner la passion de l'home pour la beauté,

par tous les temps l'home a aimé avec vénération,

le milles couleurs de printemps et des femmes en été,

 

Quand le chant des grillions,

s'accompagne des ronflements,

quand la lumière d'une ampoule,

accompagné d'un rideau transparent,

garantissent la paix aux amants.

 

Quand le choc des gravillons,

laisse entendre la marche des passants,

et que la lumière de la lune,

accompagné d'un brille étincelant

offrent à Cupide des nouveaux client

 

des baises aux caresses en tourbillon

affluant en attroupement mais tendrement,

parler n'a valeur aucune,

des mains la bouche sa mission remplaçant,

présentant à Dionysos des nouveaux talents.

 

Les poètes ont toujours raison,

car il est toujours plus amusant,

d'exprimer ses mémoires en chanson,

des souvenir chargé de passion.

 

Des ancien souvenir d'un garçon,

quand il apprenez avec les règles de l'art,

les diverses manières de jouir en amant,

des souvenir à transformer plus tard,

des mots, la langue de Maupassant.

 

C'est même pas que du sexe,

tout ce qui gravite au tour,

c'est même pas une bassesse,

tout ce qu'il y a de plus pur,

ça été même pas des pucelles

tout ce qu'il y a de plus sur,

ça été non plus des poubelles,

celles qu'ont forgées mon future,

des femmes pour moi très belles

pas non plus une sinécure.

 

Moi, je ne pas du génie,

Je ne saurais jamais écrivain,

Pour la divine comédie,

Je resterais qu'un turlupin.

 

J'aimerais tant trouver les mots justes,

j'aimerais tant juger les gestes injustes,

j'aimerais tant savoir pour quoi les justes,

méprisent au plus haut point la justice,

je veux connaître avec tant de gourmandise,

si c'est tout simplement que l'ignorance,

qu'aux pauvres enlève leur pitance,

pour que d'autres vivaient avec aisance.

 

Je m'excuse devant autant des fleurs,

sans le moindre rêve de grandeur,

je m'excuse devant tant des teneurs,

de la pluie et le temps grands saigneurs,

mais il me répugne tant des horreurs,

si loin des médiats au titres accrocheurs,

où l'ignorance règne en pandore

au pire tout le monde l'ignore,

alors qu'ils signent leur peine de mort,

système cannibale! Pour tant à tort.

 

Ce n'est que des mots sans rime,

ce n'est que des vers sans sens,

ce n'est qu'une voix sans prime,

sans poésie moins encore du son.

 

Pas une poésie de rythme

Pas le poète qui trime

C'est l'immigré qui frime

Quand Mirabeau estime

Pamphlet, que l'on réprime:

Amnésie et absentéisme

 

Seule la vertu de Baudelaire,

ou la fluidité de Mallarmé,

faire autant qu'Apollinaire,

le talent de Louise Labé

avec le chant de Molière,

l'imitateur d'Alain Bosquet

 

À quoi bon écrire pour faire joli,

sans message inclus sur la vie,

Surement croire que ça soufis,

que juste en parlant de la pluie,

la gloire ne saurait plus enfuie.

 

Je vous demande mon chemin,

tenez, je vous donne ma main,

l'égoïsme, tous en commun,

même pas une chambre d'ami,

même pas un but de pain demi,

pas vraiment besoin d'ennemi.

 

A toi poésie j'élève ma prière,

A toi philosophie j'en supplie,

toi littérature mes larmes aussi

et juste à la fin de ma vie

tenez mon cœur il s'ennuie

 

pour tant j'aurais pas de haine

contre la pensée de mon voisin

mais j'aurais de la peine

sans la ficelle de Maupassant

ni le talent de La Fontaine

pour éveiller rien qu'un semblant

d'une compréhension plaine

d'une misère en grandissant.

 

Quelque fois, le verbe, se travesti, la phrase devienne licencieuse, et pour tant rien d'scandalisant, tant que les gens bien pensants, trouvaient de quoi s'amuser, et les quidams manquent du pain, ainsi  tourne la terre, et l'avenir ont s'en fou.

 

 

Une question de philosophie pour Alexandrie

 

Je ne pas eus la chance,

et je n'aurais pas le temps,

Ni une longue reviviscence

M'écartera du présent

 

Il restera en réminiscence

Peut-être même en autre ton

Sous forme de jouissance

On me tâcherait de Buffon

Pour avoir abordé la science

Mais seul celle de Platon

Des hommes en qui j'ai confiance

Plus qu'une vraie dévotion

 

Littérature à toi j'implore asile

Depuis la poésie en tanière

Avec le comportement de Basile

Tant des plumes légères

Ne dormirons pas tranquilles

Qu'avec mon corps sous terre

 

L'édifice de la connaissance

Ce trouve de nous jours en ruine

L'économie à outrance

Désagrège la raison ultime

D'une justice en décadence

Où chaque énarque signe:

Enlever aux pauvres sa pitance

Sans voir au but l'abîme

Oubliant au passage la chance

Que l'histoire nous souligne.

Entre Plagia y Creación congnoscitiva

Entre Plagia y Creación congnoscitiva

 

Un espejo ou un gramophone

Un miroir ou un gramophone

par : Nestor Elias Ramirez Jimenez, joigny Domingo 9 de Diciembre del 2007

 

Cuando no adquirimos los conocimientos, nuestra inteligencia queda por decirlo así virgen.

En el caso de personas que frecuentan tal o cual nivel de estudios, su discurso sería el fruto de un razonamiento construido sobre la base de su preparación intelectual.

Personalmente, no me considero de hecho inteligente o más aún educado, aunque con estudios en Colombia, país de Sudamérica con el nivel que los recursos que mi modesta familia habrían permitido (padre trabajador en la industria de la caña de azucar y madre al hogar) podemos decir que el nivel de bachillerato es un sueño.

Así que hoy me encuentro escribiendo, con la pasión despertada al principio por el Sr. Gilles Chenaille, el día que he tenido carta blanca en su sitio internet de la Calle de los Autores "Rue des Auteurs". Mi ingenua pasión reprimída hasta entonces por los horrores cualitativos de mi francés, desde entoces ha crecido.

Por tanto desde que escribo incluso "de más", frente a mi ambiente de casa "paso mi tiempo que a eso" cosa que me atrae por supuesto la furía. No tengo excusa más allá del hecho de que trabajo para ganar de que sobrevivir yendo cómo todo el mundo a una fábrica la escritura no es que ocio.

Mis intervenciones, a mi gusto, permanecen entre la creación o elucubración de factoría personal y el plagio puro y simple de las ideas de los grandes hombres de filosofía y otras ciencias sociales.

 

Que tendría para expresar, resultante de una actividad individual epistemológica. En absoluto, nada ya que soy (lo he dicho tantas veces) un espejo que refleja simétricamente el conjunto de los hechos y gestos de mi medio ambiente.

Desde hace dos días soy feliz saber que Bruno y Marie, están allí detrás de mi, y que con un poco de oportunidad tendría desde hora en ellos dos almas nobles y sobre todo caritativas dispuestos a hilarme una ayuda sin igual. Pesada tarea, la de mejorar la calidad de mis textos, de corregirlos.

Hay en mis escritos una realidad intangible para los intelectuales por tanto imponderable para los menos favorecidos, los trabajadores, los desempleados como yo.


(aujourd'hui dimanche 24 novembre 2013, je visite et tente de corriger des fautes! conscient de mon  piètre niveau)