Larmes du cur, ignorance de l'âme
Larmes du cœur, ignorance de l'âme
Clinc d'œil à ma petite sœur Nubia Rocio dans la photo.
Pour les religions il a été jamais question
de sanctionner la passion de l'home pour la beauté,
par tous les temps l'home a aimé avec vénération,
le milles couleurs de printemps et des femmes en été,
Quand le chant des grillions,
s'accompagne des ronflements,
quand la lumière d'une ampoule,
accompagné d'un rideau transparent,
garantissent la paix aux amants.
Quand le choc des gravillons,
laisse entendre la marche des passants,
et que la lumière de la lune,
accompagné d'un brille étincelant
offrent à Cupide des nouveaux client
des baises aux caresses en tourbillon
affluant en attroupement mais tendrement,
parler n'a valeur aucune,
des mains la bouche sa mission remplaçant,
présentant à Dionysos des nouveaux talents.
Les poètes ont toujours raison,
car il est toujours plus amusant,
d'exprimer ses mémoires en chanson,
des souvenir chargé de passion.
Des ancien souvenir d'un garçon,
quand il apprenez avec les règles de l'art,
les diverses manières de jouir en amant,
des souvenir à transformer plus tard,
des mots, la langue de Maupassant.
C'est même pas que du sexe,
tout ce qui gravite au tour,
c'est même pas une bassesse,
tout ce qu'il y a de plus pur,
ça été même pas des pucelles
tout ce qu'il y a de plus sur,
ça été non plus des poubelles,
celles qu'ont forgées mon future,
des femmes pour moi très belles
pas non plus une sinécure.
Moi, je ne pas du génie,
Je ne saurais jamais écrivain,
Pour la divine comédie,
Je resterais qu'un turlupin.
J'aimerais tant trouver les mots justes,
j'aimerais tant juger les gestes injustes,
j'aimerais tant savoir pour quoi les justes,
méprisent au plus haut point la justice,
je veux connaître avec tant de gourmandise,
si c'est tout simplement que l'ignorance,
qu'aux pauvres enlève leur pitance,
pour que d'autres vivaient avec aisance.
Je m'excuse devant autant des fleurs,
sans le moindre rêve de grandeur,
je m'excuse devant tant des teneurs,
de la pluie et le temps grands saigneurs,
mais il me répugne tant des horreurs,
si loin des médiats au titres accrocheurs,
où l'ignorance règne en pandore
au pire tout le monde l'ignore,
alors qu'ils signent leur peine de mort,
système cannibale! Pour tant à tort.
Ce n'est que des mots sans rime,
ce n'est que des vers sans sens,
ce n'est qu'une voix sans prime,
sans poésie moins encore du son.
Pas une poésie de rythme
Pas le poète qui trime
C'est l'immigré qui frime
Quand Mirabeau estime
Pamphlet, que l'on réprime:
Amnésie et absentéisme
Seule la vertu de Baudelaire,
ou la fluidité de Mallarmé,
faire autant qu'Apollinaire,
le talent de Louise Labé
avec le chant de Molière,
l'imitateur d'Alain Bosquet
À quoi bon écrire pour faire joli,
sans message inclus sur la vie,
Surement croire que ça soufis,
que juste en parlant de la pluie,
la gloire ne saurait plus enfuie.
Je vous demande mon chemin,
tenez, je vous donne ma main,
l'égoïsme, tous en commun,
même pas une chambre d'ami,
même pas un but de pain demi,
pas vraiment besoin d'ennemi.
A toi poésie j'élève ma prière,
A toi philosophie j'en supplie,
toi littérature mes larmes aussi
et juste à la fin de ma vie
tenez mon cœur il s'ennuie
pour tant j'aurais pas de haine
contre la pensée de mon voisin
mais j'aurais de la peine
sans la ficelle de Maupassant
ni le talent de La Fontaine
pour éveiller rien qu'un semblant
d'une compréhension plaine
d'une misère en grandissant.
Quelque fois, le verbe, se travesti, la phrase devienne licencieuse, et pour tant rien d'scandalisant, tant que les gens bien pensants, trouvaient de quoi s'amuser, et les quidams manquent du pain, ainsi tourne la terre, et l'avenir ont s'en fou.
Une question de philosophie pour Alexandrie
Je ne pas eus la chance,
et je n'aurais pas le temps,
Ni une longue reviviscence
M'écartera du présent
Il restera en réminiscence
Peut-être même en autre ton
Sous forme de jouissance
On me tâcherait de Buffon
Pour avoir abordé la science
Mais seul celle de Platon
Des hommes en qui j'ai confiance
Plus qu'une vraie dévotion
Littérature à toi j'implore asile
Depuis la poésie en tanière
Avec le comportement de Basile
Tant des plumes légères
Ne dormirons pas tranquilles
Qu'avec mon corps sous terre
L'édifice de la connaissance
Ce trouve de nous jours en ruine
L'économie à outrance
Désagrège la raison ultime
D'une justice en décadence
Où chaque énarque signe:
Enlever aux pauvres sa pitance
Sans voir au but l'abîme
Oubliant au passage la chance
Que l'histoire nous souligne.
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