Blogia
gramophone

Sociologie

…"Le vrai" consiste simplement dans ce qui est avantageux pour notre pensée, de même que "le juste" consiste simplement dans ce qui est avantageux pour notre conduite"…

William James

Pragmatisme

Après avoir écouté l’intervention de clôture de la réunion du G20, faite par le président des USA; vers 19 heures le jeudi 2 avril 2009. Le mot pragmatisme me semble ici juste pour qualifier son discours.

Cela implique, une lourde charge, du point de vu historique et sémantique du terme. Cela implique particulièrement aussi la négligence obligé de nombre de facteurs humains et scientifiques.

Sans être érudit, et moins encore pédant, entrons dans le vif du sujet par un exemple.

Est-ce qu’un paysan du Larzac à le droit de vivre du fruit de son travail?

Bien sur que oui! Et cela, qu’il fabrique du Bethmale, du Moulis, du Cabécou depuis les monts de Lacaune en passant par Saint Georges et jusqu’à la montagne noire et même ailleurs dans les Haut-Pyrénées et l’Aveyron, un paysan à le droit de vivre du fruit de son travail.

Est-ce qu’un chauffeur routier à les mêmes droits que le paysan, de vivre de son travail?

Mais quelle question plus idiote! Zut alors!

Est-ce qu’il y a sur la terre des paysans, des chauffeurs ailleurs qu’en France?

Oui en effet!

S’il est vraie, ils sont des êtres humains aussi, et tous les humains ont les mêmes droits?

Je dois admettre qu’un paysan d’un pays riches ait des avantages par rapport à un travailleur d’un pays pauvre?

De toute évidence, il y a des différences, bien que le GATT, soit la porte de la mondialisation, les pays sont différents; et de cette différence surgie une foule de conséquences.

Les êtres humains ne son pas égaux, dans la pratique que dans l’instenté de leur naissance.

Pour revenir à la multiplication par trois des fonds du FMI; la réalité et le pragmatisme nous enseigne que les riches des pays pauvres aurons plus d’argent pour pavoiser et les pauvres aurons plus de misère pour souligner l’abîme qui ne faire que se creuser d’avantage.

Bien entendu qu’il y des personnes qui dirons merci au G20, mais j’ai la certitude que d’une très excellente intention est accrue une très vielle injustice.

Les mots du président Obame, avaient avant tout de la sincérité, beaucoup de volonté; ce sont des mots d’un homme humain, très différent de ces prédécesseurs.

Je dirais même qu’il à plus que du Charisme, la qualité d’employer les mots justes.

Pour la première fois de l’histoire et de ma conception des USA, je crois qu’il est possible que le monde change, cela reste qu’une possibilité que l’ineptie, une sorte de faiblesse physique; de réflexion, de caractère et surtout la tendance "humaine" sous forme d’ambition démesurée, risquaient d’empêcher.

Las palabras del Presidente había Obame, reflejaron sobre todo la sinceridad, las palabras de un hombre altruista muy diferente de sus predecesores.

Yo diría que tiene más que de carisma, la calidad de las palabras justas (lo que la gente quiere escuchar). 

Por primera vez en la historia y mi visión de los EE.UU., creo que es posible que el mundo cambie, sin embargo solo es "una posibilidad" que el absurdo, (una especie de debilidad física, en la reflexión, en el carácter y la especialmente la tendencia "humana" hacia la ambición), podrá impedir.

Le capitalisme en convalescence

Le capitalisme en convalescence "conclusion du G20"

par Nestor Elias Ramirez

vendredi 3 avril 2009

Après l’intervention du président des USA hier soir (02/04/09) est-ce qu’il est juste de considérer deux idéologies différentes, je fais allusion à la différence jusqu’aujourd’hui de l’idéologie capitaliste et l’idéologie socialiste.

Le président du pays "symbole du Capitalisme", c’est montré réaliste, car aucune politique local n’est possible sans admettre l’influence dans cette sorte d’interaction, où le libéralisme prôné par le passé rendrait éventuellement un service aux peuples. 

Juste cette vision nous induit à penser que "le système change"" d’un système de concentration de richesse vers un système de distribution de moyens.

Est-ce juste des jolis mots ? Est-ce juste de la poudre aux yeux ? Est-ce de l’illusion ? 

Le sommet du G20, aurait juste été un travail de diagnostique ou prescription pour un système en état de "coma profond" afin de le mettre en convalescence et le voir se réveiller avec plus d’indifférence et plus d’ambition spéculative qu’avant?

Vu l’idée de John Stuart Mille du point de vue de la psychologie, le comportement humain reste la clé.

Jusqu’à preuve du contraire, l’ambition des iniques l’importe sur la volonté naïve ou consentante des politiques.

Le capitalisme doit renaitre des ceindrais, grâce aux efforts politiques et surtout à la socialisation des pertes où l’ensemble des peuples payent pour la bêtise d’une poignée de fous.

LE CHIEN QUI COURRAIT DERRIERE SA QUEUE

Le chien qui courrait derrière sa queue 

par Nestor Elias Ramirez Jimenez dit GRAMOPHONE

(joigny vendredi 30 janvier 2009)

Mes plus sincères excuses pour la qualité du texte car le français n’est pas ma langue maternelle.

Dans un exemple criant de vérité; nous pouvons parler de consommation.

L’économie mondiale est comme un très long train. (Dans un but pédagogique à fin d’être compris par les enfants). Le nombre de wagons de première classe, étant de deux et le nombre de wagons de deuxième classe de huit.

La première classe se trouve toujours à 3/4 vide, la deuxième, est à ¾ pleine. Le tarif en première classe est le double voir plus par rapport à la deuxième (normale il y a bar, restaurant et même des toilettes). Malgré quoi le train gagne plus d’argent avec les billets de deuxième classe.

Notre train circule au quotidien entre les pyramides de Gizeh et le temple d’Artémis à Éphèse; il passe par le phare d’Alexandrie puis en route il est possible d’admirer : le Mausolée d’Halicarnasse, les jardins suspendus de Babylone et le colosse de Rhodes.

Avec les années, le train est de moins en moins pris, par les passager de première classe, au point qu’un jour la société d’exploitation, craignant devoir affronter une crise; (étant donné que les nantis et intellectuels, ne s’intéressent plus à la magnificence du voyage).

- "ce n’est pas les ignares, gueux et béotiens qui vont continuer à l’emprunter" - 

Dit un savant et prix Nobel d’économie de l’époque, membre du conseil d’administration de la société.

En quelques années, les nantis d’antan fidèles au train; commencent à faire usage de leurs économies pour voyager dans leur calèches (très modernes, sans point de chevaux, mais de puissantes et bruyantes machines, dotes d’un confort jamais atteint dans les autres pays du monde). 

Les bourgeois en question, décident de racheter, chacun une partie de la propriété du train. 

Les années passent, nombre de commerçants utilisateurs quotidiens du train, pour d’autres besoins que pour le tourisme et la contemplation; (pour aller d’une ville à l’autre dans leur travail de chaque jour) ont emboîté le pas aux riches, voyant les dividendes, "l’excellente rentabilité".

Cela a été le coup de grâce à la fréquentation du train quotidien entre pyramides de Gizeh et le temple d’Artémis à Éphèse, à la fin de la période; aveuglés par l’ambition, même les gueux étaient devenus des notables actionnaires du somptueux train "Gizeh Éphèse".

Alors des huit wagons devenus de trop en 1er classe, ne restaient plus que deux. Même à quatre wagons le train "Gizeh Éphèse" n’avait plus que la 1/2 de ses passagers, puis 1/4 …

Aujourd’hui, quelque part, dans un cimentier des trains il reste, à peine des vestiges "d’un si splendide train"; des huit cents personnes qui travaillant (avec les emplois indirectes) pour son prestige, ont devenu pire que des gueux. Les nantis eux, ont flairé le coup à d’avant et le roi les aurait même aidé financièrement en guise de dédommagement et vivent dans un pays lointain, dans des palais dignes des rois.

Les anciens usagers de deuxième classe, ont perdu leurs économies, et doivent reprendre bientôt des calèches et des chariots avec des vrais chevaux… 

Voilà le texte d’un ignare d’un illettré, c’est bien le cas, car je n’ai pas eu la chance de fréquenter l’école de Charlemagne.

QUE VEUT DIRE ETRE DE GAUCHE en France?

Que veut dire être de gauche en France?

original écrit en français (traduccion al castellano debajo)

Auteur : Joseph Fornés.


D’abord les fondamentaux.
 
Que veut dire être de gauche ? 

C’est mettre la priorité sur l’être humain, c’est vouloir avant toutes choses et pour tous, le progrès humain et social, progrès de la qualité de vie mais également progrès de la connaissance et de l’intelligence.

C’est avoir pour principes la liberté, l’égalité, la fraternité.

C’est adhérer aux valeurs qui découlent de ces principes : la laïcité, la tolérance, le respect des autres et de la personne humaine, la solidarité, la démocratie.

Déclinons maintenant ces fondamentaux pour donner des guides de comportement par rapport aux grandes questions d’aujourd’hui : le libéralisme économique, la mondialisation, le travail, la sécurité, l’immigration, l’écologie, l’Europe, le communautarisme, la nation, l’éducation, etc. La liste n’est pas exhaustive. 

Si l’on fait cette opération de manière rationnelle en évitant le prêt à penser de gauche habituel on aboutit à des propositions iconoclastes mais qui servent l’objectif donné ci-dessus. Par contre on se rend compte que, loin des "lieux communs", être de gauche est une exigence, pour soi comme pour les autres.

Le travail :
 
Le travail comme participant au progrès général ou individuel et comme facteur d’épanouissement intellectuel ou physique, d’entreprise, de création, d’apprentissage, d’échange, est à n’en pas douter une valeur de gauche. 

Par contre le travail abrutissant, mange temps et facteur d’usure intellectuelle ou physique, doit être réduit au minimum nécessaire et laisser un large temps libre pour d’autres activités plus épanouissantes. Au slogan de la droite « travailler plus pour gagner plus », la gauche doit répondre « travailler mieux et plus intelligemment pour le bien de tous et de chacun ». 

Une réponse de gauche c’est donc l’amélioration constante de l’efficacité et de la qualité du travail par l’éducation, les investissements, la recherche, l’organisation, les infrastructures, la formation, l’automatisation qui libère des tâches pénibles et sans intérêt. C’est aussi la réduction du temps de travail pour permettre de s’occuper de sa famille, de se cultiver, de bricoler, de donner du temps à des associations altruistes, etc. (bref pour du travail toujours, mais non rémunéré). Il faudrait inventer une nouvelle méthode calcul du PIB qui intègres toutes les activités amenant du progrès à la société et qui compte négativement celles amenant des nuisances. 

On peut en déduire que la gauche doit rejeter l’assistanat comme ne servant ni l’individu ni la collectivité. L’aide aux personnes en difficulté doit consister à leur permettre de rejoindre le peloton des personnes actives (« apprendre à pêcher plutôt que de donner du poisson ») et doit donner lieu à contribution de la part des personnes aidées.

L’entreprise et le libéralisme économique :
 
L’entreprise sous toutes ses formes, commerciale ou association, à but lucratif ou non, est un facteur de création, de progrès et d’accomplissement individuel ou collectif et doit par conséquent être encouragée. La liberté de chacun s’arrêtant là où commence celle des autres, la gauche doit cependant réguler l’économie pour que le succès de certaines entreprises ne se traduise pas au final par des régressions humaines individuelles ou collectives.

La richesse : 

L’honnête enrichissement de certains, personnes ou collectivités (entreprises commerciales ou associations), constitue non seulement une juste récompense et un encouragement pour l’esprit d’entreprise, la créativité, l’effort ou la prise de risques mais donne également les moyens – le capital – nécessaire pour les actions à venir et le bien de tous, d’autant que l’investissement de capital a un effet multiplicatif sur la production de richesses à partager. 

Tous les facteurs qui contribuent au progrès de la société doivent être encouragé par la gauche et l’enrichissement est l’un de ces facteurs.

L’égalité des droits et des chances ne signifie pas l’égalitarisme qui nivelle par le bas et qui finalement nuit à tous par sa faible entropie. Le succès de quelques uns tire les autres vers le haut. Par contre la gauche doit faire très attention à ce que les situations établies n’empêchent pas l’émergence d’autres richesses, d’autres succès. Il faut éviter le blocage des situations sociales, les coteries, et autres freins à la fluidité sociale. Elle doit par exemple réduire la transmission à des héritiers qui ne seraient que des rentiers par différents moyens appropriés. Elle doit également bien sûr veiller à ce que l’enrichissement ne soit pas le résultat d’agissements malhonnêtes et de l’exploitation des plus faibles.

La mondialisation : 

La mondialisation est un facteur de paix et de progrès dans la mesure où elle favorise les échanges de biens, la circulation des personnes et des idées. Néanmoins, nous pouvons constater que seuls les échanges de biens sont traités dans les accords internationaux. La gauche doit donc introduire des règles facilitant la diffusion du progrès humain dans ces accords en échange des traités économiques. La gauche doit également assurer un certain protectionnisme vis-à-vis d’une concurrence extérieure déloyale, c’est-à-dire ne respectant pas ses principes, pour permettre au travail d’être un facteur de progrès humain.

La nation :
 
la nation et tous ses oripeaux (drapeau, hymne) ne sont certainement pas des valeurs de gauche. La nation, comme le communautarisme, c’est vouloir enfermer les individus, au prétexte qu’ils sont nés sur un territoire dit national, dans un système de prétendues valeurs jusqu’à être prêt à mourir pour elles. La nation, c’est la guerre aux autres et l’excuse de soi. Les principes et valeurs de la gauche ne sont pas nationaux mais universels. La gauche est donc universaliste, internationaliste, cosmopolite, même si, pour des raisons pratiques, elle est contrainte d’agir dans le cadre de territoires géographiques limités.

L’Europe :
 
de ce qui précède sur la nation, on conclura rapidement que la gauche doit être Européiste, non pas pour créer une nouvelle nation européenne à un échelon supérieur, mais pour assurer la paix, le progrès économique, social et culturel ainsi que la libre circulation des individus et des idées. Et au-delà de l’Europe, il faut rechercher une gouvernance mondiale dans le même but.

La Turquie en Europe : 

Tout ce qui peut favoriser l’expansion des idées de progrès humain et social doit être mis en œuvre et l’entrée de la Turquie dans l’Union Européenne fait partie de cela, même si les choses ne sont pas si simples et qu’il convient d’y aller intelligemment. Il ne peut y avoir, pour la gauche, d’autres raisons que pratiques et techniques pour limiter l’élargissement de l’Europe.

Le communautarisme : 

Le communautarisme, c’est comme la nation, un enfermement des individus dans des valeurs et des traditions sous le prétexte qu’ils sont les enfants de cette communauté. La gauche doit donner la possibilité aux enfants, adolescents et jeunes gens de quitter leur communauté d’origine pour embrasser le monde par l’éducation, la mixité culturelle, les voyages d’étude etc. C’est la condition sine qua non pour un bon fonctionnement de l’ascenseur social comme le montrent les études sociologiques sur le sujet.

Les traditions : 

Les traditions obligent, demandent à être respectées, enferment. Tradition n’est pas un mot de gauche. La gauche doit lui préférer les mots histoire et culture. La culture nourrit la réflexion de chacun et elle évolue car elle peut être enrichie, notamment au contact de la culture des autres.

La religion : 

idem pour les traditions religieuses et le communautarisme religieux. La gauche doit être laïque et la religion maintenue dans la sphère individuelle.

L’immigration clandestine : 

L’immigration clandestine pose un difficile problème à la gauche car s’y opposer c’est aller semble-t-il à l’encontre de ses généreux principes de progrès humain universel et de libre circulation des biens, des personnes et des idées. Il faut ici admettre le principe très humain, applicable pour les individus comme pour les groupes, que l’on ne peut aider les autres à ses propres dépends. La gauche doit donc aussi lutter contre l’immigration clandestine. Elle doit le faire de la manière la plus humaine possible en démantelant les filières, en punissant les employeurs ou les logeurs, en rendant l’immigration légale plus transparente et juste (ce qui redonnera de l’espoir aux candidats à l’immigration et évitera les actes suicidaires) et surtout en contribuant à installer dans les pays d’origine les conditions d’une vie correcte à travers par exemple l’aide aux ONG (pour éviter les détournements de fonds par les gouvernements suspects).

L’écologie :
 
Dans la mesure où le bien-être et le progrès de l’humanité sont concernés, la gauche doit se préoccuper de problèmes tels que l’effet de serre ou la diversité biologique et veiller à créer et maintenir un environnement (durable) favorable à l’épanouissement humain. Cela peut passer par la promotion des énergies renouvelables et celle de l’efficacité énergétique. La gauche ne doit cependant pas s’interdire de modifier l’environnement pour l’améliorer (il n’y a pas un environnement naturel et un environnement artificiel. L’homme et le résultat de ses actions, comme le résultat des actions de l’ensemble du règne animal et végétal – cf. les récifs coralliens - font partie de la dite nature). Ce que l’on peut et doit faire du point de vue de la modification de l’environnement est question de démocratie et d’intelligence. En tout état de cause, le retour à la lampe à huile ne peut pas être un objectif de gauche.

L’énergie nucléaire : 

L’énergie nucléaire a l’énorme avantage de fournir l’énergie dont le progrès humain a besoin sans produire de gaz à effet de serre. Elle présente néanmoins des risques importants au niveau industriel (accident nucléaire), politique (dissémination de l’arme nucléaire) et de pollution par les déchets. La gauche ne doit pas rejeter l’énergie nucléaire qui reste encore indispensable, mais agir pour la mitigation des risques engendrés. Elle doit donc investir dans la recherche dans les domaines du traitement des déchets, de la sécurité, de la fusion nucléaire, favoriser les filières peu compatibles avec l’armement nucléaire, agir diplomatiquement pour un contrôle international de l’énergie nucléaire. Et bien sûr promouvoir la recherche dans des énergies renouvelables abondantes et moins dangereuses.

Les OGM : 
La gauche doit favoriser la recherche scientifique, sur les OGM comme sur tous les autres sujets, même les plus délicats (embryon) dans le respect de l’éthique et des précautions d’usage et dans la transparence. L’amélioration des connaissances, de toutes les connaissances, est une valeur de gauche.

Les services publics : 
Le rôle d’un état de gauche serait de mettre en place et de maintenir les structures communes - ou services publics - assurant le bon fonctionnement général de la société, l’efficacité de son activité, l’égalité d’accès à ces structures, et de faire en sorte que ces structures conduisent au progrès humain. Cela ne veut pas dire que ces services publics doivent être exécutés par l’état lui-même. Cela n’est certainement pas un gage d’efficacité par rapport à des entreprises ou des associations expertes dans le domaine et ayant d’autres modes de recrutement et d’organisation plus adaptés. L’état doit simplement établir des cahiers des charges précis et contraignants, mettre les fournisseurs de service en concurrence et vérifier les résultats régulièrement. La soi-disant défense du secteur public, qui n’est en fait que la défense d’avantages catégoriels et qui énerve tant de nos concitoyens, va en fait à l’encontre de l’amélioration de l’efficacité de ces services et par conséquent de la compétitivité de la société entière. Elle a l’inconvénient de dresser l’une contre l’autre deux parties de la société : la société civile et les fonctionnaires. D’ailleurs il ne devrait pas y avoir de fonctionnaires, seulement des compétences, des métiers, et le citoyen devrait pouvoir travailler alternativement au cours de sa carrière dans des sociétés privées ou pour l’état, ce dernier embauchant selon ses besoins et selon les compétences requises.

L’éducation : 
l’éducation est bien sûr une action prioritaire pour la gauche avec la nuance qu’il ne s’agit pas seulement de former de futurs travailleurs meilleurs et plus efficaces mais surtout des citoyens intelligents et sensibles capables de s’épanouir, d’entreprendre, de créer, etc. , pour leur bien et pour celui des autres (voir la valeur travail). Il faut donc enseigner non seulement des matières scientifiques mais également la philosophie qui permet de raisonner, la sociologie qui permet de comprendre la société, les arts qui permettent de ressentir, etc. Ce sera bon pour les individus mais également pour la collectivité : intelligente et sensible, la France sera plus forte. Une remarque : si l’enseignement est un métier, j’ai pu constater que mes meilleurs professeurs étaient des gens plutôt âgés et qui étaient venus à l’enseignement sur le tard lorsqu’ayant exploré toutes les possibilités de leur carrière et bâti leurs désirs, il leur est venu l’envie de transmettre leurs connaissances et leur expérience aux jeunes générations. Voilà qui plaide pour des possibilités de passerelle entre les carrières.

La culture : 
la culture, comme l’éducation doit être une priorité de la gauche afin de former des citoyens intelligents et sensibles, capables de créativité et de raisonnement. Objectif majeur : faire reculer la « beaufitude » ! Comment faire en laissant la liberté de choix aux citoyens ? (il n’est certainement pas question de faire le bonheur du peuple malgré lui). C’est la question à résoudre à laquelle je cherche personnellement en vain une réponse dans mes activités associatives.

La liberté : 
c’est, à n’en pas douter un principe de gauche même lorsqu’il s’agit de liberté économique (voir plus haut sur l’entreprise et le libéralisme économique). Parmi les libertés menacées aujourd’hui en France même : la liberté de la presse, la liberté de critique de la religion (que certains appellent blasphème), la liberté des femmes dans « certains quartiers », la liberté syndicale dans les PME, la liberté architecturale (demandez aux architectes ce qu’ils en pensent), la liberté de la recherche scientifique,…

La démocratie : 
la démocratie c’est le régime politique qui fait que chacun est acteur de son destin et du destin de ses compatriotes. L’expérience montre que la démocratie est le seul régime permettant le progrès humain et est donc un impératif pour la gauche. Or contrairement à ce qu’ont claironné la plupart des média, la forte participation à l’élection présidentielle traduit en fait un déficit de démocratie et la crise de la représentativité. Les causes sont connues : féodalisme dans les partis politiques (on n’en parle pas assez mais pour qui est militant c’est vraiment une chose terrible), faible représentativité syndicale, absence de transparence sur les décisions des représentants à tous les niveaux (de la commune à l’état), absence d’évaluation des politiques, régime présidentiel charismatique et parlement croupion,… Des mesures utiles ont été avancées par Ségolène Royal : non cumul des mandats, limitation à deux mandats consécutifs, augmentation de la représentativité syndicale (comment ?), éclaircissement des compétences, évaluation de l’action politique par des jurys citoyens, démocratie participative. Soyons conscients cependant que la démocratie est une exigence et que le citoyen doit non seulement être acteur mais également s’informer et acquérir des compétences…

La sécurité : 
la sécurité ce n’est pas de mettre plus de policiers, de barrières, d’alarmes, de systèmes de détection, de caméras, etc. Lorsqu’il en est ainsi, c’est que l’on a peur et la peur est l’antinomie de la liberté. La vraie sécurité c’est de pouvoir dormir tranquille toutes portes et fenêtres ouvertes ou de pouvoir oublier son sac dans un magasin et de le retrouver, et cela suppose non pas des mesures sécuritaires mais une évolution des mentalités (par exemple que tous soient garants de tous, que l’honnêteté l’emporte sur le cynisme), évolution qui peut être obtenue par l’éducation, l’égalité et la solidarité. La fraternité et l’honnêteté, voilà les principes de gauche propres à lutter contre l’insécurité.

Le gauchisme : 
la gauche n’est pas le parti des travailleurs et des classes populaires. Pas seulement en tout cas. Elle est le parti de tous ceux et celles qui privilégient le progrès de l’humain, qu’ils soient eux-mêmes riches ou pauvres, travailleurs, chefs d’entreprise ou rentiers. La gauche c’est avant tout le parti de l’intelligence, de la sensibilité et du progrès humain. La dictature du prolétariat, comme toute idée de dictature, est une idée d’extrême droite ! Prendre aux riches pour donner aux pauvres, c’est simpliste et c’est tout simplement du vol. C’est nier le mérite de l’action, de l’intelligence, de la créativité, de la prise de risques et l’apport que ces qualités ont pour la société entière. C’est autre chose que d’organiser la solidarité et les services de l’état par un impôt juste utilisé pour le bien de tous (et pas seulement celui des pauvres même si ce sont eux qu’il convient d’aider le plus). La justice appliquée à tous, riches ou pauvres, est un principe de gauche. Le mérite est également une valeur de gauche.

Joseph Fornés.
Militant PS, ingénieur, animateur d’association culturelle
29 mai 2007

Ecrit par : Joseph Fornés | 31.05.2007

QUE SIGNIFICA LA IZQUIERDA IDEOLOGICA ?

Autor :José Fornés.

traduccion al castellano de Nestor Elias Ramirez Jimenez


En primer lugar los conceptos básicos.
 
que significa la izquierda?

Es asentuar la prioridad en el ser humano, es en primer ante todo y para todos, el progreso humano y el progreso social, progeso en la calidad de vida como también el avance de los conocimientos y la inteligencia.

Se trata de admitir como principios la libertad, la igualdad, la fraternidad.

Es adhérir a los valores derivados de estos principios: la laicidad, la tolerancia, el respeto por los demás y la persona humana, la solidaridad, la democracia.

Declinemos estos principios fundamentales para orientar el comportamiento en relación con los principales temas de actualidad: el liberalismo económico, la globalización, el trabajo, la seguridad, la inmigración, la ecología, Europa, comunitarismo, la nación, la educación. La lista no es exhaustiva...

Si hacemos esto de manera racional, evitando la concesión "todo hecho" de la izquierda, esto nos conduce al pensamiento iconoclasta, pero soportando el objetivo anteriormente citado. Uno se da cuenta de que, lejos de la "apariencia", ser de izquierda es un requisito, por sí mismo y para todos.

Trabajo:
 
El trabajo en general en tanto que un factor de progreso y de desarrollo físico o intelectual, el espíritu empresarial, la creatividad, el aprendizaje, el intercambio, son, sin duda, valores de izquierda.

En cambio trabajando brutalmente contra el tiempo,es factor de desgaste físico o intelectual, pour lo cual debe reduirse al mínimo y dejar un gran tiempo libre para otras actividades más satisfactorias. Contre el lema de derecha "trabajar más para ganar más", la izquierda debe responder "a trabajar mejor y más inteligente para el beneficio de todos y cada uno".

Una respuesta de la izquierda es que la constante mejora de la eficiencia y la calidad del trabajo a través de la educación, la inversión, investigación, organización, infraestructura, formación, automatización que liberade tareas pesadas y poco interesantes. Es también la reducción de las horas de trabajo para ayudar a cuidar de su familia, para crecer, jugar, para dar tiempo a las asociaciones altruistas, etc. (siempre para el trabajo, asî sea no remunerado). Hace falta inventar un nuevo método de calcular del PIB, que incluye todas las actividades conducentes al progreso en la sociedad y calcular aquellas negativas que causan las perturbaciones.

Esto sugiere que la izquierda debe rechazar el la ayuda social sin aporte ya sea el individuo o la comunidad. La asistencia a personas en crisis debe servir a que puedan unirse a las filas de los empleados ( "aprender a pescar en vez de dar peces") y debe genarar un aporte de la gente ayudada.

La empresa y el liberalismo económico:

La empresa en todas sus formas, de comercio o asociación, con o sin ánimo de lucro, es un factor de la creatividad, el progreso y la satisfaciôn individual o colectiva, por lo que debe fomentarse. La libertad del individuo termina cuando el donde comienza la del otro, la izquierda, sin embargo, debe regular la economía para el éxito de algunas empresas no den lugar al final a la regresión humana, individual y colectiva.

Riqueza:

El honesto enriquecimiento de algunos individuos o comunidades (o asociaciones de empresas comerciales), no sólo es una justa recompensa y los incentivos para la iniciativa empresarial, la creatividad, el esfuerzo y la aceptación de riesgos, sino también garantîa de los medios - el capital - indispensable a las futuras acciones en bien de todos, sabiendo en lo que respecta a la inversión de capital qie tiene un efecto multiplicador en la producción de riqueza para compartir.

Todos los factores que contribuyen al progreso de la sociedad debe ser alentados por la izquierda y el enriquecimiento es uno de esos factores.

Igualdad de derechos y oportunidades que no significa igualitarismos que en última instancia perjudica a todos por su baja entropía. El éxito de algún empuja los otros hacia arriba. Por tanto la izquierda debe tener cautela frete al statu quo no excluya la aparición de otras formas de riqueza, otros éxitos. Evitar situaciones de bloqueo, camarillas sociales, y otras barreras a la fluidez social. Hay, por ejemplo, necesidad de reducir la transmisión a los herederos que no son más que rentistas por diferentes medios. También debe, por supuesto, garantizar que el enriquecimiento no es el resultado de conducta deshonesta y la explotación de los débiles.

Globalización:

La globalización es un factor de paz y el progreso en la medida en que promueve el intercambio de mercancías, la circulación de personas e ideas. Sin embargo, podemos ver que sólo el comercio de mercancías se tratan en los acuerdos internacionales. La izquierda tiene que introducir normas para facilitar la difusión de los avances humanos y sociales en estos acuerdos a cambio de tratados económicos. La izquierda también debe proporcionar una cierta protección contra la competencia extranjera desleal, es decir, no respetan sus principios, a fin de que el trabajo sea un factor en el progreso humano.

La Nación:
 
La nación y todos sus chiros (bandera, himno) no son ciertamente los valores de la izquierda. La nación como el comunalismo, bloquea las personas, con el pretesto que han nacido en el territorio nacional, en un supuesto sistema de valores que considera que estaría dispuesto a morir por ellos. La nación es la guerra a los otros y la excusa de su libetad. Los principios y valores de la izquierda no son de orden nacional sino universal. La izquierda es, por tanto, universal, internacional, cosmopolita, aunque por razones prácticas, se ve obligada a actuar dentro de las zonas geográficas limitadas.

Europa:
 
de lo anterior en cuanto al país, la conclusión rápida serîa que la izquierda debe ser européista, no para crear una nueva nación europea a un nivel superior, pero para garantizar la paz, el progreso económico, social y cultural, así como la libre circulación de personas e ideas. Y más allá de Europa, tenemos que buscar un gobierno mundial para el mismo propósito.

Turquía en Europa:

Todo lo que puede promover el crecimiento de las ideas de progreso humano y social deben aplicarse y la entrada de Turquía en la Unión Europea hacen parte, incluso si las cosas no son tan simples y es conveniente de avanzar con inteligencîa. No puede haber por la izquierda, que la excepción de razones prácticas y técnicas para limitar la expansión de Europa.

Comunitarismo:

Comunitarismo es como la nación, una prisión de las personas en los valores y tradiciones con el pretexto de que son los niños de esta comunidad. La izquierda debe comprometerse con los niños, adolescentes y jóvenes a abandonar sus comunidades de origen para abrazar el mundo a través de la educación, la diversidad cultural, viajes de estudio etc. Esta es la condición sine qua non para el buen funcionamiento de la escala social, como se muestra en los estudios sociológicos sobre el tema.

Tradiciones:

La tradición exige, deben ser respetada, trampa. La tradición no es una palabra de la izquierda. La izquierda tiene que preferir las palabras: la historia y la cultura. Cultura nutre la reflexión de todos y está evolucionando, ya que puede ser ampliada, en especial en contacto con la cultura de los demás.

Religión:

ídem por las tradiciones religiosas y el comunitarismo. La izquierda debe ser laico y la religión mantenida en la esfera individual.

La inmigración ilegal:

La inmigración ilegal plantea un problema difícil a la izquierda, ya que oponerse es al parecer contrario a su generoso principio universal de progreso humano y la libre circulación de bienes, personas e ideas. Aquí hemos de admitir el principio muy humano, aplicable a individuos y grupos, podemos ayudar a otros a sus propias expensas. La izquierda también debe luchar contra la inmigración ilegal. Debe hacerlo de la forma más humana con el método de desmantelamiento de cadenas, sancionar a los empleadores y los propietarios, al hacer más transparente la inmigración legal y justa (que pueda dar una esperanza a los recién llegados y evitar actos suicidas) y, sobre todo, ayudando a instalar en el país de origen la gente en condiciones de vida decente, por ejemplo, mediante el apoyo a las ONG (para evitar el desvío de fondos por parte de los gobieronos corrompidos).

Ecología:
 
En lo que se refiere al bienestar y el progreso de la humanidad, la izquierda debería ocuparse de cuestiones como el "efecto de invernadero" y la diversidad biológica, garantizar, crear y mantener un medio ambiente (sostenible) a favor de "el desarrollo humano. Esto puede implicar la promoción de las energías renovables y la eficiencia energética. La izquierda, sin embargo, no se debe permitir modificar el medio ambiente para mejorar (no se trata de un medio ambiente natural y un entorno artificial. El hombre es el resultado de sus acciones, como resultado de las acciones de todo el reino vegetal y animal - cf. arrecifes de coral - forman parte de ese tipo). Lo qué podemos y debemos hacer en términos de cambios en el medio ambiente es una cuestión de democracia y de inteligencia. En cualquier caso, la vuelta a la lámpara de aceite no puede ser un objetivo de izquierda.

La energía nuclear:

La energía nuclear cuenta con la enorme ventaja de proporcionar la energía que necesita el progreso humano sin producir gases de "efecto invernadero". Sin embargo, hay riesgos significativos en el sector industrial (de accidentes nucleares), políticos (propagación de las armas nucleares) y la contaminación por residuos. La izquierda no debe rechazar la energía nuclear, que sigue siendo esencial, pero tomar medidas para mitigar los riesgos implicados. Por lo tanto, debe invertir en investigación en el dominio de los residuos, la seguridad, la fusión nuclear, la promoción de las filiales difícilmente compatible con las armas nucleares, actuar diplomáticamente para el control internacional de la energía nuclear. Y, por supuesto, promover la investigación en energías renovables abundantes y menos peligrosas.

OMG:
La izquierda debe promover la investigación científica sobre los OGM, como en todos los demás temas, incluso los más delicados (embrión) con respecto en materia de ética y precauciones de uso y con toda la transparencia de rigor. La mejora del conocimiento es un valor de la izquierda.

Servicios públicos:

el papel de un Estado implica crear y mantener las estructuras - los servicios públicos - garantizar el buen funcionamiento de la sociedad, la eficacia de su actividad, la igualdad da acceso a estas estructuras, y asegura que estas estructuras soporten el progreso humano.

(fin temporal de traduccion )

C'EST QUOI LE CAPITALISME ?

C’est quoi le capitalisme?

Cela reste inique, voir une insulte de nous jours croire qu’un citoyen ignore la définition du système capitaliste en France.

Dans un dictionnaire "Flammarion" 

Nous trouvons [nom masculin], Régime économique et social fondé sur le capital. (2) L’ensemble de puissances capitalistes.

Dans un dictionnaire "Larousse" 

[Nom masculin] système économique et social fondé sur la propriété privée des moyens de production et d’échange. (Le capitalisme se caractérise pour la recherche de profit, l’initiative individuelle, la concurrence entre les entreprises) (2) Régime économique, politique et social qui selon la théorie marxiste et régi par la recherche de la plus-value grâce à l’exploitation des travailleurs par ceux qui possèdent les moyens de production et d’échange.

Bien sur qu’il est impossible de faire coïncider la définition avec la volonté individuelle de chacun.

J’ai viens d’initier un sujet dans la rubrique parti socialiste du journal LE FIGARO, devant des supposés citoyens courants. Donc en principe dotez de raison.

J’ai eu des critiques faisant allusion à ma piètre métrise "que je reconnais et je regrette d’ailleurs" de la langue, puisque je suis arrivé sur le sol de Molière à l’âge de trente ans.

Mais chacun est ici libre de faire un tour sur le site du forum et prélever les fondements par lui-même de l’argumentaire pour le moins faible de mes interlocuteurs. Je vous inclus en conséquence le lien:

http://figaro.concileo.com/user/non-frames/list.asp?forumid=132&threadid=1699807&pn=1&sk=5&sb=&tl=&ib=Y

Voici ma première réponse: 


Petit exercice de diversion "amusant"

Je constate comme j’ai déjà souligné d’ailleurs que certains métiers disposent d’un lexique propre.

A ce stade en guise de réfutation il est normal de trouver déconcertés ici et la des sobriquets dans l’incapacité à songer, voir s’astreindre à soulever le niveau intellectuels des échanges d’une rubrique.

Il me semble d’ailleurs que l’on doit écrire …"peut-être brillants en leurs temps" que "peut-être brillants en leut temps"

Ecrivons claire donc!

Le capitalisme en tant que dénomination "arbitraire" est donné à un système, dans sa plus large définition: 

Ainsi tout mouvement de monnaie, de titres, de capital sous la forme de mouvement "financier" reste assujetti au système capitaliste en tant qu’empire. 

En apologie à l’empire soviétique, l’empire Egyptien, ou l’empire Ottoman, etc. 

Cela me semble claire néanmoins ainsi a été enseignait par mes nobles professeurs quand j’avais 10 ans. Confirmé par la suite pour d’autres pédagogues jusqu’au moment de quitter les bancs de l’UTP. 

Les biens, la production, les immobilisations, les infrastructures, ne sont pas le capitalisme. 

Pour tant peuvent recevoir cette dénomination par "extension". 

La propriété privée, existe bien avant l’empire capitaliste; bien avant l’empire ou système de monarchie, car dans ma définition justement empire et régime ont une signification semblable du au rôle du commandement ou d’autorité que les deux représentent.

La finance, reste un terme prosaïque, encore une fois de plus donnée par "extension" au travail sous forme de métier; 

Ne disons nous "lui travail dans la finance" comme nous disons "j’ai des difficultés financières" ou point que la définition de finance semble aller de paire avec le système lui-même:

Car le capitalisme reste un système, qui cherche à assurer les échanges, sous forme de production de tout genre, sur une base mantes fois faussé de marché et libre échange. 

A travers la lecture de vos textes je me rends immédiatement compte à qui j’ai à faire, je ne sais pas écrire en français, mais vous savez la lecture ne me posse le moindre problème.  

J’ai vite compris que face à mon intention d’élever le débat sur le système capitaliste et ses dérives notamment en termes d’éthique. Il y a des individus qui se sentent gènes soit par ignorance soit par malaise? A vous de vous identifier.

Again, i’ts for me very badly, because I don’t speak very well in French

LOS IMPERIOS, su vida y su legado

LOS IMPERIOS, su vida y su legado

Les empires, leurs vies et leurs lègue


Je sème dans un sol désert?

firts in french and then in spanish
primero en frances luego en español


par Nestor Elias Ramirez Jimenez
Joigny Dimanche 28 décembre 2008

Je suis navré de vous infliger de si mauvais qualité dans cette langue que pour tant à connu les plus érudits hommes de l’histoire de l’humanité. Mes plus sincères excuses!

Je me rends compte que j’avais écris, dans un français de mauvaise qualité. Je dénonçais de manière piètre les événements. Quelque soit la portée de ces textes; il reste tout juste le reflet d’une situation que les intellectuels évaluent depuis longtemps. 

L’effet du miroir

Sans aucun mérite ma démarche réfléchit tel un miroir la pensée de nombre d’intellectuels, des écrivains; depuis Platon, en passant par La Boétie, Rousseau, Jaurès, Condillac, Marx et dernièrement Stiglitz parmi tant d’autres comme Soljénitsyne.

Les empires et leurs vies

A travers l’histoire de l’humanité, nombre d’empires ont eu une vie, (naissance, apogée et mort) l’empire où l’argent est roi, donne des signes de déclin.

L’héritage 

Suite à l’évidence de l’incapacité du pouvoir politique à contrôler l’harmonie des peuples, nous sommes devant un constat majeur de déclin; un système languissant. Il serait dommage que tant d’évolution scientifique et technique, aient légué aux générations futures, une image si nulle en termes d’économie et d’harmonie entre les êtres mais surtout vis-à-vis de mère nature. A l’échelle de la famille (vous qui lisait mon discours loufoque), chacun souhaite léguer aux siens quelque chose dont ils seront fiers! A l’échelle de la société, le lègue serait-il différent? Cela me semble injuste. Cela me semble injuste, et reste l’erreur qui mène l’empire à sa mort.


siembro en un desierto? 

por Nestor Elias Ramirez Jimenez
Joigny Francia Domingo 28 de diciembre del 2008


(Traduccion al español)

Lo siento por infligir tan mala calidad en esta lengua que por tanto ha conocido los más experimentados hombres en la historia de la humanidad. Mis más sinceras disculpas! 

Me doy cuenta que he escrito en un francés incomprensible. lastima pour las denuncias de eventos tan graves. Sea cual sea el alcance de estos textos, es sólo un reflejo de una situación que evaluan desde hace mucho tiempo los intelectuales. 

El efecto del espejo 

Sin ningún mérito mi enfoque como un espejo refleja el pensamiento de muchos intelectuales, escritores, desde Platón, pasando por La Boétie, Rousseau, Jaurès, Condillac, Marx y Stiglitz recientemente, entre muchos otros, como Solzhenitsin. 

Los imperios y sus vidas 

A través de la historia, muchos imperios tenían una vida (nacimiento, apogeo y muerte), el imperio por el que el dinero es rey, está mostrando signos de agonîa. 

El Legado 

Tras la prueba de la incapacidad del poder político para garantizar la armonía de los pueblos, nos encontramos ante un importante punto de declive, el capitalismo languidece. Es lamentable que tantos avances científicos y tecnológicos, han legado a las generaciones futuras, una imagen de valor cero en términos de economía y la armonía entre los seres humanos y sobre todo frente a la madre naturaleza.

En la escala de la familia (lectores que consideran mi discurso demente), cada uno desea legar algo de que sientirse orgulloso! A nivel de la sociedad, el legado sería diferente?

Eso me parece injusto y es el error que lleva el imperio a su muerte.

Quand l'opposition s'exprime en France

Intervention de Bruno LE ROUX député SRC (Seine-Saint-Denis)

par Nestor Elias RAmirez Jimenez

Transcription de l’intervention d’un député dans l’élaboration de loi sur la modification de l’audiovisuelle publique.


J’ai l’impression que madame la ministre et favorable à tous les amendements qui sont des projets (c’est une discussion commune monsieur LE ROUX) bien entendu, mais c’est pour cela qu’elle est un peu restrictif par rapport aux arguments qu’ont été donnés par l’opposition, elle se permet de donner l’approbation sur l’article 85 alors que ce que nous souhaitons en même temps c’est des garantis

C’est la façon donc vous voyez la question du parrainage que pour nous est importante car la différence la différence de la publicité; elle touche au contenu elle fait l’interaction entre ce que serons demain des programmes et de parrainages.

Donc Patrick BRAOUEZEC a eu la raison de dire là, qu’il pouvait engendrer des lignes éditoriales, engendrer une façon de voir l’information, une façon de voir le reportage qui se prête à confusion et qui peut se prêter à graves conséquences.

Ce que nous souhaitons c’est qu’en validant ce amendement, en faisant en sorte de restreindre ce accès au parrainage vous puisiez exprimer c’est qu’est aussi la volonté, ce qu’est le sentiment du gouvernement sur cette question; par l’évidence il y a la danger sur la façon donc on organise la perméabilité entre les lignes éditoriales, entre les reportages entre le contenu et entre des grandes entreprises de notre pays. 

Madame la ministre Christine ALBANEL, lève en conséquence sont gage sur l’amendement.

Assez souvent il est dit dans des forums, des blogs et même dans les médias que la gauche brille par son silence, voici en dehors de l’intervention que je viens de vous transcrire du député Bruno LE ROUX. Une autre intervention du député PS disponible en PODCAST sur internet: 

(a vrai dire les médias français dans une atmosphère de sectarisme et partialité abordent très peu ou pas de tout les sujet importantes à la société, en échange par contre il est établie une programmation sans hauteur intellectuelle; qui seul semble satisfaire un panel de population décervelait )

JOSEPH STIGLITZ

JOSEPH STIGLITZ

par Nestor Elias Ramirez Jimenez

joigny vendredi 19 décembre 2008

il s’agit d’un économiste américan et prix Nobel d’économie 2001 Joseph Eugene Stiglitz  sur un travail commun avec George Akerlof et Michael Spence.

Sa notoriété est faite, une fois ayant quité la Banque Mondial en 2000 , suite à ses prises de position face au FMI et la Banque Mondiale, un nouveau keynésianiste

monsieur Joseph Stiglitz a travaillez dans la recherche sur la théorie du screening, (obtention d’information privée des agents économiques)

voici un intervention sous forme de PODCAST en anglais de monsieur JOSEPH STIGLITZ