Un petit mot de peinture et d'art
Dans la rubrique culture du forum du journal LE FIGARO, nous avons pris pour habitude parler de politique, d'économie, moi le premier, au point que la rubrique UMP que j'ai tort de pas visiter doit se trouver jalouse.
Je me suis permis de poster un commentaire initial que voici :
Je vais plus me laisser mener dans un terrain glissant, ici c'est le forum culture parlons de Spinoza, les choses aux quelles nous nous attelons, c'est dans la rubrique UMP.
Nous pouvons parler d'Antonin Dvorak, Béla Bartók, Hector Berlioz, ou Haendel
Pour quoi pas de Rembrandt de ses roses, de F. Joseph Navez et son coup de crayon, pour ne pas aborder les grands Tintoretto, M. Van Heemskerch ou Rubens...
Au quel un webforumeur à exhorté :
Que du beau monde, cher Gronchon!
Mais je m'étonne de la présence de Navez, peintre académique et mondain dont le coup de crayon ne valait pas celui de Ingres - et de loin. Et de celle de Van Heemskerch dont les grands retables barroco-pompiers prêtent plus à rire qu'à l'admiration. Quant à Rembrandt, j'ai beau me creuser la mémoire, je ne me souviens pas qu'il ait peint des roses. Sans doute s'agit-il d'un homonyme que je vais découvrir avec stupeur dans le Bénezit...
J'ai pris alors un crayon papier et la première feuille (de relevé de compte en banque vide au verso, en blanc au verso) et du coup je viens de tracer un autoportrait.
Avec la réponse que voilà :
Commençants par les moins connus !
crescendo! crescendo ! pas le magazine belge bien sur! Chi va piano va sano.
Vous ne connaissez donc pas son épouse Saskia Van Uylenburgh pardon ou plutôt les roses dans la main de Saskia ?
Pour les passionnés de peinture les détails ça compte par fois dans l'ouvre d'art.
J'ai une certains passion pour la peinture, ayant fait quelques toiles, je fais la différence entre le peintre impressionniste (connaisseur de l'anatomie) au coup de crayon condition sine qua non pour être peintre avant le XIX bien sur, et les chers tableaux de nous jours où il suffit de projeter sur la toile la couleur pour être prisé au plus haut niveau, il faut dire que l'appareil photo numérique prend la place dans la gestion de l'image.
Dans l'expression de la "Mona lissa" il y a grand partie de la valeur du tableau, de la même manière dans le visage du "jeune garçon songeur" de Navez il y a un ensemble expressif réel. Sous l'effet bien maitrisé de l'ombre et la lumière dans un dosage savant à l'aide du contraste apporte par la couleur du grand chapeau.
D'une manière volontaire, j'ai aussi évité de parler des plus grands en restant de coté nord de la France, puisque les peintres italiens, espagnols et français mais surtout italiens autant que dans la musique furent en grande partie source de motivation des autres.
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Olivier Strasser -
Diego Ortiz alisa Olivier Strasser